1% de la population ne ressentirait aucune attirance sexuelle et aucune envie ou besoin d'avoir des relations sexuelles. Un auteur canadien souhaite que l'asexualité soit reconnue comme étant une orientation sexuelle.
Dans la sexualité, trois orientations sexuelles sont définies et reconnues: l'hétérosexualité, l'homosexualité et la bisexualité. Or, il y en aurait une 4e, "sous-étudiée", d'après le Professeur Anthony Bogaert. Il s'agit de l'asexualité, d'après l'auteur du livre "Comprendre l'asexualité" ("Understanding Asexuality", en version originale). Il estime leur nombre à 1% de la population mondiale, rapporte The Independant.
Anthony Bogaert définit l'asexualité comme étant un manque total d'attirance sexuelle. "Il y a deux formes d'asexuels: ceux qui ont un désir sexuel mais qui ne le dirigent pas vers les autres (donc, ils peuvent peut-être se masturber) et ceux qui n'éprouvent aucun désir sexuel." L'auteur canadien souhaite que cette orientation sexuelle soit reconnue et mieux comprise. Car pour lui, il ne fait aucun doute que les asexuels peuvent "se sentir exclus de notre société hyper sexualisée."
Lors de la World Pride, une conférence non-académique dédiée à l'asexualité organisée le mois dernier à Londres, les organisateurs avaient déjà indiqué qu'ils souhaitaient "que l'asexualité soit reconnue comme une orientation sexuelle, plutôt qu'un trouble quelconque ou quelque chose que les gens cachent..."
Dans la sexualité, trois orientations sexuelles sont définies et reconnues: l'hétérosexualité, l'homosexualité et la bisexualité. Or, il y en aurait une 4e, "sous-étudiée", d'après le Professeur Anthony Bogaert. Il s'agit de l'asexualité, d'après l'auteur du livre "Comprendre l'asexualité" ("Understanding Asexuality", en version originale). Il estime leur nombre à 1% de la population mondiale, rapporte The Independant.
Anthony Bogaert définit l'asexualité comme étant un manque total d'attirance sexuelle. "Il y a deux formes d'asexuels: ceux qui ont un désir sexuel mais qui ne le dirigent pas vers les autres (donc, ils peuvent peut-être se masturber) et ceux qui n'éprouvent aucun désir sexuel." L'auteur canadien souhaite que cette orientation sexuelle soit reconnue et mieux comprise. Car pour lui, il ne fait aucun doute que les asexuels peuvent "se sentir exclus de notre société hyper sexualisée."
Lors de la World Pride, une conférence non-académique dédiée à l'asexualité organisée le mois dernier à Londres, les organisateurs avaient déjà indiqué qu'ils souhaitaient "que l'asexualité soit reconnue comme une orientation sexuelle, plutôt qu'un trouble quelconque ou quelque chose que les gens cachent..."
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