Et pourtant lorsque l'annonce été faite par l'autorité administrative, certaines personnes avaient manifesté leur accord et disaient qu'une sirène est un moyen de sommation afin que les Kaolackois puissent regagner tranquillement leurs domiciles avant 20 heures.
Toutefois, quelques jours plus tard, la situation constituerait une source de nuisance sonore selon les voisins du commissariat central de Kaolack où la sirène a été installée. "Elle fait peur aux enfants et aux personnes âgées. Et pis, la sirène retentit d'une façon très brusque, et c'est ce qui fait peur aux gens", a déclaré un riverain qui a requis l'anonymat.
Ladite sirène retentit trois fois dans la journée à partir de 19h 45 mn, mais les techniciens ont sans doute oublié de la programmer à telle enseigne que le son qu'elle émet ne surprenne personne. " Chaque jour, nous vivons la même situation. Nos enfants sont très affectés à cause de cette sirène qui est devenue une véritable nuisance sonore. Les autorités interdisent le tapage nocturne, mais ne savent peut être pas qu'elles sont en train de nous tympaniser avec cet engin", a pesté un autre interlocuteur.
" Si la sirène nous gène autant, elle devrait alors déranger gravement les malades de l'hôpital régional de Kaolack. Je le dis parce que le commissariat central de Kaolack jouxte l'hôpital régional El Hadj Ibrahima Niass. Par conséquence, les plus affectés doivent être ceux qui sont hospitalisés là bas. Les autorités qui ont pris la décision d'installer cette sirène croyaient sans doute bien faire, parce que l'objectif est d'aider les gens à savoir que l'heure du couvre-feu va bientôt sonner. Mais si la mesure va jusqu'à déranger la quiétude des gens, alors elles devraient plutôt trouver une autre méthode…", a ajouté un riverain rencontré près du commissariat central de Kaolack.
Toutefois, quelques jours plus tard, la situation constituerait une source de nuisance sonore selon les voisins du commissariat central de Kaolack où la sirène a été installée. "Elle fait peur aux enfants et aux personnes âgées. Et pis, la sirène retentit d'une façon très brusque, et c'est ce qui fait peur aux gens", a déclaré un riverain qui a requis l'anonymat.
Ladite sirène retentit trois fois dans la journée à partir de 19h 45 mn, mais les techniciens ont sans doute oublié de la programmer à telle enseigne que le son qu'elle émet ne surprenne personne. " Chaque jour, nous vivons la même situation. Nos enfants sont très affectés à cause de cette sirène qui est devenue une véritable nuisance sonore. Les autorités interdisent le tapage nocturne, mais ne savent peut être pas qu'elles sont en train de nous tympaniser avec cet engin", a pesté un autre interlocuteur.
" Si la sirène nous gène autant, elle devrait alors déranger gravement les malades de l'hôpital régional de Kaolack. Je le dis parce que le commissariat central de Kaolack jouxte l'hôpital régional El Hadj Ibrahima Niass. Par conséquence, les plus affectés doivent être ceux qui sont hospitalisés là bas. Les autorités qui ont pris la décision d'installer cette sirène croyaient sans doute bien faire, parce que l'objectif est d'aider les gens à savoir que l'heure du couvre-feu va bientôt sonner. Mais si la mesure va jusqu'à déranger la quiétude des gens, alors elles devraient plutôt trouver une autre méthode…", a ajouté un riverain rencontré près du commissariat central de Kaolack.
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