Dans une Interview publiée dans Le Figaro du mardi 30 juin 2015, le Chef de l’Etat s’est voulu très bref sur les détentions jugées arbitraires de Karim Wade, mais aussi de l’ancien Président Tchadien Hissène Habré.
Sur la question du journaliste concernant les conditions contestées du procès de Karim et de la décision de la cour qui ne serait pas susceptible d'appel, il dit ceci : « Je vais vous répondre en trois temps. D'abord, j'ai placé mon mandat sous le signe de la lutte contre la corruption. Ensuite, la cour qui a jugé Karim Wade a été instituée en 1981. Elle appartient donc à notre organisation constitutionnelle. Le Sénégal est une démocratie. Enfin, il est faux de dire qu'il n'y aura pas d'appel, car la Cour suprême a été saisie par les avocats de Karim Wade. »
Sur le cas de l’ancien président tchadien Hissène Habré, il se contentera de dire brièvement qu’il «sera bientôt jugé à Dakar par une chambre africaine, à compétence universelle, de la cour d'appel. »
Macky Sall n’a pas voulu aussi être plus clair sur son mandat et sa candidature à la prochaine présidentielle : « je ne vous répondrai pas » a-t-il dit au journaliste. Avant d’embrayer, « j'avais proposé, à mon arrivée, de raccourcir le mandat présidentiel de sept à cinq ans, et de soumettre cette question à référendum. Je saisirai le Conseil constitutionnel de ce sujet début 2016. J'attends sa réponse... »
Sur la question du journaliste concernant les conditions contestées du procès de Karim et de la décision de la cour qui ne serait pas susceptible d'appel, il dit ceci : « Je vais vous répondre en trois temps. D'abord, j'ai placé mon mandat sous le signe de la lutte contre la corruption. Ensuite, la cour qui a jugé Karim Wade a été instituée en 1981. Elle appartient donc à notre organisation constitutionnelle. Le Sénégal est une démocratie. Enfin, il est faux de dire qu'il n'y aura pas d'appel, car la Cour suprême a été saisie par les avocats de Karim Wade. »
Sur le cas de l’ancien président tchadien Hissène Habré, il se contentera de dire brièvement qu’il «sera bientôt jugé à Dakar par une chambre africaine, à compétence universelle, de la cour d'appel. »
Macky Sall n’a pas voulu aussi être plus clair sur son mandat et sa candidature à la prochaine présidentielle : « je ne vous répondrai pas » a-t-il dit au journaliste. Avant d’embrayer, « j'avais proposé, à mon arrivée, de raccourcir le mandat présidentiel de sept à cinq ans, et de soumettre cette question à référendum. Je saisirai le Conseil constitutionnel de ce sujet début 2016. J'attends sa réponse... »
Autres articles
-
Fin du Daaka : à la tête de BBY, Amadou Mame Diop a délivré le message de Macky Sall
-
Présidentielle au Tchad : Près de 8 millions d’électeurs appelés aux urnes !
-
Approvisionnement en eau potable : des perturbations annoncées par Sen‘Eau toute la semaine dans certains quartiers
-
UCAD : les étudiants du CURI durcissent le ton
-
Des ingénieurs d'une université anglaise développent des piles à durée de vie plus longue pour des communautés en Afrique