« Le silence devient une trahison… le temps de la rupture est arrivé »
Dès l’entame de son discours, Anta Babacar Ngom a souligné la gravité de la situation politique et sociale du pays, qui exige désormais des vérités dites « avec courage et avec dignité » :
« Le silence devient une trahison, l’évitement est une faute. »
Ce dialogue, affirme-t-elle, ne doit pas être une simple mise en scène institutionnelle, mais une réponse sincère et républicaine à l’exigence de changement exprimée par les Sénégalais.
« Nous sommes venus répondre par conviction. Et nous sommes venus répondre par devoir. »
« Il est temps de changer de ton »
Dans une adresse directe à la majorité et à l’opposition, la députée appelle à l’assainissement du débat public et à la fin des discours haineux :
« La parole publique doit retrouver sa dignité. Le débat politique doit être assaini, purgé des injures. »
Si elle insiste sur la responsabilité des partis à discipliner leurs militants, elle pose comme exigence une justice réellement neutre :
« Nous appelons à une justice véritablement indépendante, équitable et impartiale. »
Et si elle soutient le principe de reddition des comptes, elle prévient :
« Ce principe ne doit pas être un instrument de vengeance ni un levier de communication politique. »
« La précarité croissante, l’essoufflement économique… Il est temps de passer à l’action »
Abordant le dossier brûlant de l’économie, Anta Babacar Ngom dresse un constat alarmant sur les retards accumulés du fait des tensions politiques :
« Cela fait quatre longues années que notre pays est prisonnier de tensions politiques. »
Elle propose des états généraux de la relance économique et un soutien massif au secteur privé, qu’elle qualifie de « meilleur allié » de l’État.
« Une démocratie sans les femmes est une démocratie amputée »
Anta Babacar Ngom a également insisté sur la nécessité d’inclure davantage les femmes dans les espaces de pouvoir :
« Notre sous-représentation est une réelle défaillance démocratique. »
« Une démocratie sans les femmes est une démocratie amputée. »
« Le peuple ne pardonnera plus… Le temps de la rupture est arrivé »
Enfin, elle a lancé une mise en garde à l’opposition comme à la majorité :
« Le peuple ne pardonnera plus les marchandages obscurs, les postures opportunistes ou les logiques d’appareil. »
Anta Babacar Ngom appelle ainsi à un renouveau politique fondé sur la compétence, l’éthique et le courage, tout en rappelant qu’elle continuera à exercer une vigilance active :
« Cela ne nous empêchera jamais d’assumer notre rôle de sentinelle vigilante. »
Avec ce discours, Anta Babacar Ngom s’affirme comme l’une des voix les plus fermes et lucides du moment, prônant un dialogue sans faux-semblants, une gouvernance responsable, et une véritable refondation démocratique portée par des actes, pas des slogans.
Dès l’entame de son discours, Anta Babacar Ngom a souligné la gravité de la situation politique et sociale du pays, qui exige désormais des vérités dites « avec courage et avec dignité » :
« Le silence devient une trahison, l’évitement est une faute. »
Ce dialogue, affirme-t-elle, ne doit pas être une simple mise en scène institutionnelle, mais une réponse sincère et républicaine à l’exigence de changement exprimée par les Sénégalais.
« Nous sommes venus répondre par conviction. Et nous sommes venus répondre par devoir. »
« Il est temps de changer de ton »
Dans une adresse directe à la majorité et à l’opposition, la députée appelle à l’assainissement du débat public et à la fin des discours haineux :
« La parole publique doit retrouver sa dignité. Le débat politique doit être assaini, purgé des injures. »
Si elle insiste sur la responsabilité des partis à discipliner leurs militants, elle pose comme exigence une justice réellement neutre :
« Nous appelons à une justice véritablement indépendante, équitable et impartiale. »
Et si elle soutient le principe de reddition des comptes, elle prévient :
« Ce principe ne doit pas être un instrument de vengeance ni un levier de communication politique. »
« La précarité croissante, l’essoufflement économique… Il est temps de passer à l’action »
Abordant le dossier brûlant de l’économie, Anta Babacar Ngom dresse un constat alarmant sur les retards accumulés du fait des tensions politiques :
« Cela fait quatre longues années que notre pays est prisonnier de tensions politiques. »
Elle propose des états généraux de la relance économique et un soutien massif au secteur privé, qu’elle qualifie de « meilleur allié » de l’État.
« Une démocratie sans les femmes est une démocratie amputée »
Anta Babacar Ngom a également insisté sur la nécessité d’inclure davantage les femmes dans les espaces de pouvoir :
« Notre sous-représentation est une réelle défaillance démocratique. »
« Une démocratie sans les femmes est une démocratie amputée. »
« Le peuple ne pardonnera plus… Le temps de la rupture est arrivé »
Enfin, elle a lancé une mise en garde à l’opposition comme à la majorité :
« Le peuple ne pardonnera plus les marchandages obscurs, les postures opportunistes ou les logiques d’appareil. »
Anta Babacar Ngom appelle ainsi à un renouveau politique fondé sur la compétence, l’éthique et le courage, tout en rappelant qu’elle continuera à exercer une vigilance active :
« Cela ne nous empêchera jamais d’assumer notre rôle de sentinelle vigilante. »
Avec ce discours, Anta Babacar Ngom s’affirme comme l’une des voix les plus fermes et lucides du moment, prônant un dialogue sans faux-semblants, une gouvernance responsable, et une véritable refondation démocratique portée par des actes, pas des slogans.
Autres articles
-
Jaxaay : Neuf individus interpellés pour tentative de migration clandestine – un réseau en cours de démantèlement
-
Foudroyé en pleine cueillette : le destin brisé d’un adolescent à Sansamba
-
Mystère sous les anacardiers : l’imam retrouvé ensanglanté, la gendarmerie suspend l’enterrement à Kolda… plusieurs personnes en garde à vue
-
Hajj 2025 : L’État sénégalais critiqué pour une gestion désordonnée - Des pèlerins laissés à l'abandon à la Mecque
-
Affaire ASER-AEE PowerEPC : Thierno Alassane Sall adresse une question écrite au ministre des finances et du budget