Le candidat du mouvement Taxaw Temm, Ibrahima Fall, a lancé un appel aux autorités religieuses et coutumières du pays, leur demandant de dire à Abdoulaye Wade de retirer sa candidature à l’élection présidentielle du 26 février.
‘’Les autorités religieuses et coutumières doivent se lever pour dire à Abdoulaye Wade de se retirer’’, a affirmé Fall dans sa déclaration radiotélévisée (RTS), mercredi soir.
‘’Nous demandons aux autorités de discuter avec Abdoulaye Wade pour lui dire de s’en aller après avoir exercé les deux mandats auxquels lui donne droit la Constitution’’, a encore dit Ibrahima Fall, ancien ministre de l’Enseignement supérieur et des Affaires étrangères.
‘’Les autorités religieuses et coutumières doivent dire à Abdoulaye Wade qu’on ne saurait sacrifier une nation, un peuple pour le bien d’une seule personne’’, a-t-il insisté, après avoir dit : ‘’S’il plaît à Dieu, nous atteindrons notre objectif parce qu’Abdoulaye Wade s’en ira.’’
Me Wade a été élu en 2000 et réélu en 2007.
Le 27 janvier, le Conseil constitutionnel a validé sa candidature, ainsi que celles de Macky Sall, Idrissa Seck, Cheikh Tidiane Gadio, Moustapha Niasse, Cheikh Bamba Dièye, Doudou Ndoye, Ousmane Tanor Dieng, Diouma Diakhaté, Amsatou Sow Sidibé, Mor Dieng, Djibril Ngom, Ibrahima Fall et Oumar Khassimou Dia.
Il a rejeté les candidatures de Youssou Ndour, Kéba Keindé et d’Abdourahmane Sarr.
A l’annonce de la décision de cette juridiction, des manifestations ont été organisées dans la capitale comme à l’intérieur du pays, pour protester contre la validation de la candidature du président sortant Abdoulaye Wade.
Ces manifestations se tiennent de manière épisodique dans plusieurs villes du pays, depuis le 27 janvier. Elles sont organisées par le M-23, une coalition de partis politiques, d’organisations civiles et professionnelles. Ils estiment que la candidature de M. Wade est inconstitutionnelle.
Quatre personnes ont trouvé la mort dans ces manifestations, selon un décompte établi par la presse.
‘’Les autorités religieuses et coutumières doivent se lever pour dire à Abdoulaye Wade de se retirer’’, a affirmé Fall dans sa déclaration radiotélévisée (RTS), mercredi soir.
‘’Nous demandons aux autorités de discuter avec Abdoulaye Wade pour lui dire de s’en aller après avoir exercé les deux mandats auxquels lui donne droit la Constitution’’, a encore dit Ibrahima Fall, ancien ministre de l’Enseignement supérieur et des Affaires étrangères.
‘’Les autorités religieuses et coutumières doivent dire à Abdoulaye Wade qu’on ne saurait sacrifier une nation, un peuple pour le bien d’une seule personne’’, a-t-il insisté, après avoir dit : ‘’S’il plaît à Dieu, nous atteindrons notre objectif parce qu’Abdoulaye Wade s’en ira.’’
Me Wade a été élu en 2000 et réélu en 2007.
Le 27 janvier, le Conseil constitutionnel a validé sa candidature, ainsi que celles de Macky Sall, Idrissa Seck, Cheikh Tidiane Gadio, Moustapha Niasse, Cheikh Bamba Dièye, Doudou Ndoye, Ousmane Tanor Dieng, Diouma Diakhaté, Amsatou Sow Sidibé, Mor Dieng, Djibril Ngom, Ibrahima Fall et Oumar Khassimou Dia.
Il a rejeté les candidatures de Youssou Ndour, Kéba Keindé et d’Abdourahmane Sarr.
A l’annonce de la décision de cette juridiction, des manifestations ont été organisées dans la capitale comme à l’intérieur du pays, pour protester contre la validation de la candidature du président sortant Abdoulaye Wade.
Ces manifestations se tiennent de manière épisodique dans plusieurs villes du pays, depuis le 27 janvier. Elles sont organisées par le M-23, une coalition de partis politiques, d’organisations civiles et professionnelles. Ils estiment que la candidature de M. Wade est inconstitutionnelle.
Quatre personnes ont trouvé la mort dans ces manifestations, selon un décompte établi par la presse.
Autres articles
-
Thiès : Un sergent-chef de l'armée interpellé avec 5 kg de chanvre indien
-
Iran: le président Raïssi introuvable après un "accident" d'hélicoptère
-
Retrait de la CEDEAO : les impacts économiques potentiels qu’encourent le Mali, le Burkina Faso et le Niger.
-
[INFO-INTERNATIONAL] RDC : Tentative de coup d'état neutralisé à Kinshasa, le chef milicien tué
-
Revue de la semaine: les déplacements de BDF,Visite de Mélenchon, Russie-Chine au menu ( FRANCAIS )