Le président de la République Macky Sall avait marqué les esprits en annonçant en 2012, un plan d'action d'un montant 767 milliards de F CFA sur 10 ans. Ce plan est dénommé plan décennal de lutte contre les inondations (PDLI). Ceci, pour simplement mettre fin au cauchemar des inondations que vivent jusqu'à nos jours les sénégalais. En effet, ce plan comprenant 4 grandes phases à l'horizon 2013/2014 est réparti entre la phase d'urgence, la phase de l'aménagement du territoire, celle de la restructuration urbaine et du relogement et enfin la phase de gestion des eaux pluviales.
Ainsi, dans le but de trouver une solution durable aux inondations, le gouvernement du Sénégal a mis en place le programme décennal de gestion des inondations (PDGI) couvrant la période 2012-2022 qui a été validé à l'issue du Conseil Présidentiel tenu le 19 Septembre 2012. Ce programme d'un coût global estimé à 767 milliards FCFA, est piloté par le Ministère en charge des inondations qui était à l'époque, Khadim Diop.
Dans le court, moyen et long terme, il est nécessaire de préciser que le programme décennal de gestion des inondations avait été bien accueilli car, s'articulant autour de certaines étapes qui, rappelons-le restent indispensables pour la mise en oeuvre adéquate de ce projet au profit du peuple.
Ainsi, une meilleur connaissance des zones favorables aux inondations s'impose, repenser le cadre de vie en le restaurant avec des logements sociaux, accessibles, valoriser les zones inondables et enfin, participer à l'élaboration de documents pour la planification de l'espace. Ce plan est financé avec l'appui de certains partenaires dans le cadre de la coopération multilatérale. On peut citer l'Union Européenne, la Banque mondiale, la Banque Islamique de Développement, la Banque Africaine de Développement, la Banque Européenne d’Investissement.
Après ces dernières fortes pluies, le président de la République a lancé le Plan National d'Organisation des Secours (ORSEC) qui est l’outil de gestion des crises et catastrophes au Sénégal. Piloté par le ministre de l'intérieur Aly Ngouille Ndiaye, ce programme aura a répondre aux différentes préoccupations urgentes des populations, désemparées et obligées de quitter leur domicile gagnées par les eaux pluviales. Pour rappel, le plan ORSEC a été déclenché plusieurs fois depuis les années 2000 pour faire face à des catastrophes récurrentes comme les inondations.
Pourquoi, depuis que ce plan a été mis en place, il est, de plus en plus devenu difficile pour le sénégalais, d'échapper aux effets dévastateurs des inondations? Faut-il interroger la responsabilité des sénégalais? Qu'est ce qui a échappé à l'État pour ne pas, depuis 8 ans franchir la moitié du travail qui lui incombe dans ce projet? avait-il un observatoire mis en place pour constater l'avancement du programme? En tout état de cause, avec un projet de cette envergure, et avec l'implication financière de plusieurs partenaires, des rapports périodiques aideraient à éclairer la lanternes des sénégalais.
Certaines zones inondées comme Rufisque, Keur Massar, Thiaroye, Parcelles et un peu partout à l'intérieur du pays sont aujourd'hui dans la tourmente et attendent des solutions définitives qui, selon elles, restent loin d'être convaincues par ces "pseudo solutions" qui, non seulement sortiront de nouvelles dépenses, mais ne réglera guère leur problèmes.
Ainsi, dans le but de trouver une solution durable aux inondations, le gouvernement du Sénégal a mis en place le programme décennal de gestion des inondations (PDGI) couvrant la période 2012-2022 qui a été validé à l'issue du Conseil Présidentiel tenu le 19 Septembre 2012. Ce programme d'un coût global estimé à 767 milliards FCFA, est piloté par le Ministère en charge des inondations qui était à l'époque, Khadim Diop.
Dans le court, moyen et long terme, il est nécessaire de préciser que le programme décennal de gestion des inondations avait été bien accueilli car, s'articulant autour de certaines étapes qui, rappelons-le restent indispensables pour la mise en oeuvre adéquate de ce projet au profit du peuple.
Ainsi, une meilleur connaissance des zones favorables aux inondations s'impose, repenser le cadre de vie en le restaurant avec des logements sociaux, accessibles, valoriser les zones inondables et enfin, participer à l'élaboration de documents pour la planification de l'espace. Ce plan est financé avec l'appui de certains partenaires dans le cadre de la coopération multilatérale. On peut citer l'Union Européenne, la Banque mondiale, la Banque Islamique de Développement, la Banque Africaine de Développement, la Banque Européenne d’Investissement.
Après ces dernières fortes pluies, le président de la République a lancé le Plan National d'Organisation des Secours (ORSEC) qui est l’outil de gestion des crises et catastrophes au Sénégal. Piloté par le ministre de l'intérieur Aly Ngouille Ndiaye, ce programme aura a répondre aux différentes préoccupations urgentes des populations, désemparées et obligées de quitter leur domicile gagnées par les eaux pluviales. Pour rappel, le plan ORSEC a été déclenché plusieurs fois depuis les années 2000 pour faire face à des catastrophes récurrentes comme les inondations.
Pourquoi, depuis que ce plan a été mis en place, il est, de plus en plus devenu difficile pour le sénégalais, d'échapper aux effets dévastateurs des inondations? Faut-il interroger la responsabilité des sénégalais? Qu'est ce qui a échappé à l'État pour ne pas, depuis 8 ans franchir la moitié du travail qui lui incombe dans ce projet? avait-il un observatoire mis en place pour constater l'avancement du programme? En tout état de cause, avec un projet de cette envergure, et avec l'implication financière de plusieurs partenaires, des rapports périodiques aideraient à éclairer la lanternes des sénégalais.
Certaines zones inondées comme Rufisque, Keur Massar, Thiaroye, Parcelles et un peu partout à l'intérieur du pays sont aujourd'hui dans la tourmente et attendent des solutions définitives qui, selon elles, restent loin d'être convaincues par ces "pseudo solutions" qui, non seulement sortiront de nouvelles dépenses, mais ne réglera guère leur problèmes.
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