Le sujet a été relayé par une bonne partie de la presse notamment écrite et dont la revue de presse a raisonné à longueur de journée. Jean Luc Mélenchon, président du Mouvement de La France Insoumise et le président du parti Pastef, Ousmane Sonko se sont livrés ce jeudi lors de la conférence à l’UCAD 2 sur « l’avenir dans les relations entre l’Afrique et la France », à un échange interactif sur plusieurs points qui interpellent le Sénégal et la France. La question de l’homosexualité s’invite ainsi au débat mais apprécié différemment. Si certains estiment que le président du Pastef à bien répondu à Mélenchon en lui disant que « cette question est tolérée au Sénégal », d’autres considèrent un manque de fermeté face au leader des Insoumis.
Le chroniqueur de Jakaarlo, sur la Tfm évoque deux facteurs sur le Fond et la forme : « J’ai deux problèmes sur le cas Mélenchon. D’abord, l’université, un cadre où se retrouvent les étudiants. Déjà, Ousmane Sonko a clairement dit qu’il était là en tant que président du Pastef. Le lieu n’est pas indiqué. Un autre parti qui organiserait une telle activité en ce lieu, certains se lèveront pour dire que le parti au pouvoir a organisé dans cet espace universitaire une rencontre où un invité a osé même défendre l’homosexualité… » a soutenu Badara Gadiaga.
Le second aspect selon le chroniqueur, concerne le discours de Mélenchon. Ce qui est surtout à regretter dira-t-il, c’est la réplique du président du Pastef: « Mélenchon a, au moins défendu bec et ongles, sa position. Mais Ousmane Sonko est passé à côté. Il a fait un discours nuancé ambiguë. Sur ce sujet, il a déjà dit étant dans l’opposition, qu’ils vont criminaliser l’homosexualité. Ce que je ne peux pas comprendre, c’est cette chute de la criminalisation à la tolérance… nous ne faisons pas du « Maslaa » sur ce sujet… » ajoutera le chroniqueur. Pour Badara Gadiaga, Mélenchon a eu ce qu’il voulait. Par contre, « Ousmane Sonko a raté une belle occasion de montrer à Macron et à la face du monde, la position claire du Sénégal sur cette question » indique Badara Gadiaga.
Le chroniqueur de Jakaarlo, sur la Tfm évoque deux facteurs sur le Fond et la forme : « J’ai deux problèmes sur le cas Mélenchon. D’abord, l’université, un cadre où se retrouvent les étudiants. Déjà, Ousmane Sonko a clairement dit qu’il était là en tant que président du Pastef. Le lieu n’est pas indiqué. Un autre parti qui organiserait une telle activité en ce lieu, certains se lèveront pour dire que le parti au pouvoir a organisé dans cet espace universitaire une rencontre où un invité a osé même défendre l’homosexualité… » a soutenu Badara Gadiaga.
Le second aspect selon le chroniqueur, concerne le discours de Mélenchon. Ce qui est surtout à regretter dira-t-il, c’est la réplique du président du Pastef: « Mélenchon a, au moins défendu bec et ongles, sa position. Mais Ousmane Sonko est passé à côté. Il a fait un discours nuancé ambiguë. Sur ce sujet, il a déjà dit étant dans l’opposition, qu’ils vont criminaliser l’homosexualité. Ce que je ne peux pas comprendre, c’est cette chute de la criminalisation à la tolérance… nous ne faisons pas du « Maslaa » sur ce sujet… » ajoutera le chroniqueur. Pour Badara Gadiaga, Mélenchon a eu ce qu’il voulait. Par contre, « Ousmane Sonko a raté une belle occasion de montrer à Macron et à la face du monde, la position claire du Sénégal sur cette question » indique Badara Gadiaga.
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