Selon le parisien, l'Agence nationale du médicament recommande aux Français de plus consommer ces comprimés. Ce, suite à une concertation avec les professionnels de la santé. « Je veux dire aux Français : ne les utilisez plus ! », a lancé la patronne Christelle Ratignier-Carbonneil à propos de ces comprimés antirhume, vendus depuis plus de vingt ans dans les officines de France. Le corps médical partage également cet avis à savoir l'Ordre national des pharmaciens, les syndicats, le Collège de la médecine générale, ORL etc.
L’Humex, l’Actifed, le Dolirhume, le Nurofen rhume, le Rhinadvil, sont ainsi susceptibles de provoquer des effets indésirables graves. " Des infarctus du myocarde et des accidents vasculaires cérébraux peuvent survenir après leur utilisation. Le risque est très faible mais ces événements très graves peuvent se produire quelle que soit la dose et la durée du traitement", indique la directrice de l’ANSM.
D'après le parisien, en février, " l’Europe a même pris la décision de réévaluer ces médicaments, mais la France ne compte pas attendre ses conclusions en début d’année et prend les devants". " Malgré la mise en place de mesures, on le voit, les cas persistent. Des données récentes montrent toujours des effets graves, alors que le rhume est une pathologie bénigne, voilà pourquoi nous nous mobilisons avec les médecins et les pharmaciens", martèle
Christelle Ratignier-Carbonneil. En effet, de 2012 à 2018, la base nationale de pharmacologie fait état de 307 cas graves.
Le docteur Gilles Munier a pour sa part préconisé d’utiliser à la place des sérums concentrés en sel. " Les lavages de nez permettent d’obtenir des résultats similaires même s’ils sont moins spectaculaires". Mais pour Jean-Paul Giroud, " le mieux est de retirer définitivement ces médicaments du marché".
L’Humex, l’Actifed, le Dolirhume, le Nurofen rhume, le Rhinadvil, sont ainsi susceptibles de provoquer des effets indésirables graves. " Des infarctus du myocarde et des accidents vasculaires cérébraux peuvent survenir après leur utilisation. Le risque est très faible mais ces événements très graves peuvent se produire quelle que soit la dose et la durée du traitement", indique la directrice de l’ANSM.
D'après le parisien, en février, " l’Europe a même pris la décision de réévaluer ces médicaments, mais la France ne compte pas attendre ses conclusions en début d’année et prend les devants". " Malgré la mise en place de mesures, on le voit, les cas persistent. Des données récentes montrent toujours des effets graves, alors que le rhume est une pathologie bénigne, voilà pourquoi nous nous mobilisons avec les médecins et les pharmaciens", martèle
Christelle Ratignier-Carbonneil. En effet, de 2012 à 2018, la base nationale de pharmacologie fait état de 307 cas graves.
Le docteur Gilles Munier a pour sa part préconisé d’utiliser à la place des sérums concentrés en sel. " Les lavages de nez permettent d’obtenir des résultats similaires même s’ils sont moins spectaculaires". Mais pour Jean-Paul Giroud, " le mieux est de retirer définitivement ces médicaments du marché".
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