L’ancien président de l’Olympique de Marseille (élite française), Pape Diouf, a invité les supporters sénégalais à faire le deuil de la génération 2002 et se projeter sur le futur. ‘’L’équipe nationale connaît le début d’un nouveau cycle. Il faut accepter de faire définitivement le deuil de cette génération qui nous a apporté beaucoup de satisfaction’’, a dit Pape Diouf, parrain de la 4-ème édition de Sargal Foot Pro prévue, vendredi à l’hôtel King Fahd de Dakar. Auteurs d’une performance (1-1) jugée bonne par les observateurs contre les Eléphants de Côte d’Ivoire lors du barrage retour de la coupe du monde 2014 en novembre, les Lions ont rendu une copie terne lors de leur match amical (1-1) de mars contre les Aigles du Mali. Selon l’ancien président de l’OM de 2005 à 2009, le temps est venu de penser à la reconstruction.
''C’est ce qui explique ses sautes d’humeur, ses résultats contradictoires, en dents de scie’’, a-t-il affirmé, dans une interview exclusive avec l'APS.
''Et ce manque de constance est la marque des équipes en phase de reconstruction'', a-t-il dit, appelant les autorités du football notamment la Fédération sénégalaise de football (FSF) à accepter de faire le dos rond et comprendre qu’il n’y a pas de pérennité dans la performance. ‘’C’est l’histoire du football qui veut qu’il n’y a pas de pérennité dans la performance, il y a des moments de folie, de bons résultats et parfois, il faut accepter de faire le dos rond, repartir et reconstruire’’, a-t-il ajouté. ''C'est à cette période que se situe l’équipe nationale actuellement'', a-t-il souligné, avant d'appeler la FSF à accepter d’apporter pierre après pierre pour remettre en place l’édifice.
''C’est ce qui explique ses sautes d’humeur, ses résultats contradictoires, en dents de scie’’, a-t-il affirmé, dans une interview exclusive avec l'APS.
''Et ce manque de constance est la marque des équipes en phase de reconstruction'', a-t-il dit, appelant les autorités du football notamment la Fédération sénégalaise de football (FSF) à accepter de faire le dos rond et comprendre qu’il n’y a pas de pérennité dans la performance. ‘’C’est l’histoire du football qui veut qu’il n’y a pas de pérennité dans la performance, il y a des moments de folie, de bons résultats et parfois, il faut accepter de faire le dos rond, repartir et reconstruire’’, a-t-il ajouté. ''C'est à cette période que se situe l’équipe nationale actuellement'', a-t-il souligné, avant d'appeler la FSF à accepter d’apporter pierre après pierre pour remettre en place l’édifice.
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