Il ne semble pas être sur la même longueur d’onde que ceux qui attendent impatiemment l’abrogation de la loi d’amnistie qui a conduit à la libération de certaines hautes autorités de ce pays. Me Moussa Bocar Thiam ne l’attend pas dans les prochains jours, les prochains mois et les prochaines années encore moins, venant du régime actuel avec à sa tête le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, soutenu par le premier ministre Ousmane Sonko. « Cette loi ne sera jamais abrogée par le gouvernement avec Pastef. Parce qu’au cas où elle serait abrogée, il y aurait des conséquences juridiques importantes. Toutes les personnes concernées se retrouveront dans la situation antérieure à la loi. Elles pourront faire l’objet de poursuites, même le président de la République et le Premier ministre », a précisé l’ancien ministre Moussa Bocar Thiam.
En réalité, l’invité du Grand Jury sur la RFM explique que le président de la République peut être jugé pour des faits qui n’ont rien à voir avec ses fonctions. « L’abroger, pour le Pastef, se tirer une balle dans le pied… », indique Moussa Bocar Thiam.
En réalité, l’invité du Grand Jury sur la RFM explique que le président de la République peut être jugé pour des faits qui n’ont rien à voir avec ses fonctions. « L’abroger, pour le Pastef, se tirer une balle dans le pied… », indique Moussa Bocar Thiam.
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