Le retour de Wade demandé…
Venue prendre part à l’assemblée générale de la fédération libérale de Bambey, Aïda M’bodj ne s’est pas fait prier pour tirer à boulets rouges sur le régime du Président Macky Sall avant de lancer un appel en direction du Président Abdoulaye Wade. Pour elle, la situation actuelle du pays exige de son mentor une réaction urgente : celle de revenir au Sénégal dans les plus brefs délais. « Nous demandons au Président Wade de revenir au pays. Aujourd’hui que tout le monde sait qu’il a été victime d’un complot avec cette histoire d’argent sale, il doit revenir au Sénégal. Il se savait victime d’un complot mais il ne voulait accuser personne. Qu’il revienne maintenant que tout est clair ! Nous faisons appel à lui parce que le pays va mal. A partir de ses aveux, Lamine Diack a démasqué les bourreaux de Wade. Wade doit venir porter ce manteau de victime. Nous avons tous besoin de lui. N’est-ce pas Macky Sall, Premier ministre, qui disait, le 27 juin 2006, que Wade ‘’était au Sénégal ce que Napoléon fut à la France. A chaque fois qu’on eut besoin d’un homme, tous les regards se sont tournés vers vous Maître. Comme Roosevelt qui tira l’Amérique de la récession, vous avez fini de donner aux éléphants blancs leurs couleurs naturelles’’ ».
Je pourrais être la prochaine sur la liste…
Abordant l’arrestation d’Omar Sarr, sujet principal au menu de la rencontre, Aïda M’bodj a accusé le régime du Président Macky Sall de jouer la carte de l’intimidation. « C’est peine perdue ! ». En à croire l’ancien ministre de la République, il s’agira d’apporter la réplique aux tentatives de « décapitation ». Ainsi, devant ses militants, Aïda M’bodj insistera pour dire que le Pds ne subira aucune forme d’intimidation. « Nous ne subirons l’intimidation. Nous sommes de l’opposition et nous nous opposerons. Personne ne pourra nous empêcher de dénoncer les injustices ». Toujours par rapport à cette affaire, elle dira qu’Omar Sarr n’a fait que rapporter les déclarations de Lamine Diack contenues dans le journal « Le Monde ». Mais, fait-elle savoir à la suite du maire de Bambey, « en attaquant ce journal, l’on s’expose à de nouvelles révélations ». Partant de sa volonté de mener le combat et de ne jamais se taire, Aïda M’bodj estime qu’elle pourrait être la prochaine sur la liste des futurs pensionnaires de Rebeuss ou du Cap Manuel, non sans rappeler qu’elle se sait dans le collimateur de l’adversaire.
La rencontre a enregistré la présence de plusieurs militants du Pds, du maire de Bambey et de l’essentiel de la presse régionale.
Venue prendre part à l’assemblée générale de la fédération libérale de Bambey, Aïda M’bodj ne s’est pas fait prier pour tirer à boulets rouges sur le régime du Président Macky Sall avant de lancer un appel en direction du Président Abdoulaye Wade. Pour elle, la situation actuelle du pays exige de son mentor une réaction urgente : celle de revenir au Sénégal dans les plus brefs délais. « Nous demandons au Président Wade de revenir au pays. Aujourd’hui que tout le monde sait qu’il a été victime d’un complot avec cette histoire d’argent sale, il doit revenir au Sénégal. Il se savait victime d’un complot mais il ne voulait accuser personne. Qu’il revienne maintenant que tout est clair ! Nous faisons appel à lui parce que le pays va mal. A partir de ses aveux, Lamine Diack a démasqué les bourreaux de Wade. Wade doit venir porter ce manteau de victime. Nous avons tous besoin de lui. N’est-ce pas Macky Sall, Premier ministre, qui disait, le 27 juin 2006, que Wade ‘’était au Sénégal ce que Napoléon fut à la France. A chaque fois qu’on eut besoin d’un homme, tous les regards se sont tournés vers vous Maître. Comme Roosevelt qui tira l’Amérique de la récession, vous avez fini de donner aux éléphants blancs leurs couleurs naturelles’’ ».
Je pourrais être la prochaine sur la liste…
Abordant l’arrestation d’Omar Sarr, sujet principal au menu de la rencontre, Aïda M’bodj a accusé le régime du Président Macky Sall de jouer la carte de l’intimidation. « C’est peine perdue ! ». En à croire l’ancien ministre de la République, il s’agira d’apporter la réplique aux tentatives de « décapitation ». Ainsi, devant ses militants, Aïda M’bodj insistera pour dire que le Pds ne subira aucune forme d’intimidation. « Nous ne subirons l’intimidation. Nous sommes de l’opposition et nous nous opposerons. Personne ne pourra nous empêcher de dénoncer les injustices ». Toujours par rapport à cette affaire, elle dira qu’Omar Sarr n’a fait que rapporter les déclarations de Lamine Diack contenues dans le journal « Le Monde ». Mais, fait-elle savoir à la suite du maire de Bambey, « en attaquant ce journal, l’on s’expose à de nouvelles révélations ». Partant de sa volonté de mener le combat et de ne jamais se taire, Aïda M’bodj estime qu’elle pourrait être la prochaine sur la liste des futurs pensionnaires de Rebeuss ou du Cap Manuel, non sans rappeler qu’elle se sait dans le collimateur de l’adversaire.
La rencontre a enregistré la présence de plusieurs militants du Pds, du maire de Bambey et de l’essentiel de la presse régionale.
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