Malgré leurs revendications, les contrôleurs de la circulation aérienne du Sénégal ne sont pas les plus mal lotis de la plateforme aéroportuaire.
D’après une source bien informée, proche de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA), ces cadres intermédiaires de niveau bac+2 ont des salaires supérieurs à un (1) million de francs net. En plus de cela, l’Etat du Sénégal, à travers le gestionnaire d’aéroport, leur octroie une indemnité mensuelle de 200 000 francs constituant un sursalaire.
Avec ce traitement, la plupart d’entre eux ont des véhicules personnels et bénéficient d’un système de transport du personnel mis en place par leur employeur, à savoir l’ASECNA, pour leur permettre de rallier sans difficulté la nouvelle plateforme aéroportuaire de Diass. Néanmoins, ils réclament des véhicules neufs 0 km par contrôleur, au nombre de 160 environ, dont le coût global ferait plus d’un (1) milliard 300 millions. Pendant ce temps, beaucoup de hauts cadres de l’État du Sénégal touchent moins de 500 000 francs par mois.
Tout cela ne suffit pas.
En plus de ces super privilèges, ils veulent aussi que l’Etat leur accorde gracieusement des terrains à usage d’habitation dans les environs immédiats de l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD). Ce n’est pas tout. Leurs revendications portent aussi sur la participation des employés du secteur dans le capital de la société de gestion de l’AIBD. Ce que l’Etat a accepté et a fixé à 5% du capital pour le personnel.
Au regard de ce qui précède, on peut comprendre que cette corporation cherche à prendre en otage tout un pays pour
des intérêts purement matériels et personnels et saper les réalisations de l’Etat qui a déjà beaucoup fait pour ces contrôleurs du ciel.
D’après une source bien informée, proche de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA), ces cadres intermédiaires de niveau bac+2 ont des salaires supérieurs à un (1) million de francs net. En plus de cela, l’Etat du Sénégal, à travers le gestionnaire d’aéroport, leur octroie une indemnité mensuelle de 200 000 francs constituant un sursalaire.
Avec ce traitement, la plupart d’entre eux ont des véhicules personnels et bénéficient d’un système de transport du personnel mis en place par leur employeur, à savoir l’ASECNA, pour leur permettre de rallier sans difficulté la nouvelle plateforme aéroportuaire de Diass. Néanmoins, ils réclament des véhicules neufs 0 km par contrôleur, au nombre de 160 environ, dont le coût global ferait plus d’un (1) milliard 300 millions. Pendant ce temps, beaucoup de hauts cadres de l’État du Sénégal touchent moins de 500 000 francs par mois.
Tout cela ne suffit pas.
En plus de ces super privilèges, ils veulent aussi que l’Etat leur accorde gracieusement des terrains à usage d’habitation dans les environs immédiats de l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD). Ce n’est pas tout. Leurs revendications portent aussi sur la participation des employés du secteur dans le capital de la société de gestion de l’AIBD. Ce que l’Etat a accepté et a fixé à 5% du capital pour le personnel.
Au regard de ce qui précède, on peut comprendre que cette corporation cherche à prendre en otage tout un pays pour
des intérêts purement matériels et personnels et saper les réalisations de l’Etat qui a déjà beaucoup fait pour ces contrôleurs du ciel.
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