L’association des juristes du Sénégal (AJS) dénonce la violence qui règne sur le pays et qui a découlé de la répression, non pas légitime et encadrée, « mais également aussi violente et aveugle exercée sur des journalistes dans l'exercice de leur métier. »
L’AJS s’insurge aussi de « cette décision inédite » de reporter la présidentielle qui constitue un précédent dangereux pour l'état de droit et la bonne gouvernance et met à mal la Charte fondamentale de même que les lois et réglements du Sénégal. L’association estime qu’elle empêche les populations d'exercer leur citoyenneté en choisissant souverainement, et conformément à l'agenda républicain, la personne qui doit conduire les destinées du pays.
![](https://ssl.gstatic.com/ui/v1/icons/mail/images/cleardot.gif)
C’est pour cette raison que l'AJS exhorte les autorités et institutions compétentes à veiller au respect de la constitution dans sa lettre et son esprit, ainsi que du calendrier électoral, pour des élections inclusives, transparentes, régulières et crédibles. Elle invite particulièrement les acteurs de la vie politique à sauvegarder les valeurs traditionnelles d'éthique, de démocratie et de dialogue, gages de stabilité et de paix sociale, qui ont toujours fait la fierté du Sénégal.
-
Keur Katim (Médina Sabakh) : Le corps d'un cultivateur en état de décomposition retrouvé dans un puits
-
Nioro /Manquements dans la distribution d'engrais : Des cultivateurs en colère comptent interpeller le PR Diomaye
-
Burkina: HRW réclame une "enquête impartiale" sur des actes de mutilations de cadavres
-
Immigration Irrégulière: Le Niani intercepte une pirogue de 209 migrants au large de Saint-Louis
-
NOUVEAU DG DE l’ARP - Docteur Alioune Abou Talib Diouf : Rédacteur de la partie Pharmacie dans le projet Pastef et apôtre de la criminalisation du trafic des médicaments