Le ministre du de la gouvernance locale, du développement et de l'aménagement du territoire Abdoulaye Diouf Sarr lors de la cérémonie de lancement officiel de « l’Université de la décentralisation », a salué le rôle déterminant du secteur privé dans la mise en œuvre de la politique de décentralisation.
« Il a toujours été un partenaire privilégié de mon département », fera-t-il savoir.
« L’intérêt du secteur privé pour le développement local est aujourd’hui plus marqué, avec l’avènement de l’Acte 3 de la décentralisation qui cherche à rendre les territoires plus attrayants et plus productifs, capables de porter le développement durable de notre pays.
Dans nos territoires, le rôle du secteur s’élargit de plus en plus, à telle enseigne que le tandem secteur privé-secteur public devient de plus en plus fort. Il faudrait s’en réjouir. »
Par ailleurs dira-t-il, les collectivités territoriales devraient mieux saisir les opportunités qu’offre cette réalité et en tirer parti. « Pour cela, il faudrait, en particulier, qu’elles développent leur capital humain, qu’elles réduisent considérablement le potentiel de conflits avec ce partenaire essentiel qu’est l’entreprise ; car c’est bien l’entreprise qui apporte de l’innovation, de la créativité, des emplois, de la richesse, etc... »
L’université de la décentralisation, pour rappel, est un concept initié par le Cercle des Communicants en Décentralisation (2CD).
Cette initiative selon le ministre, épouse les contours de la stratégie de communication de son département validée au mois de juin 2016, car elle vient renforcer les actions entreprises par le Ministère de la Gouvernance locale, du Développement et de l’Aménagement du Territoire, pour mieux vulgariser les politiques qu’il est chargé de mettre en œuvre. Pour finir, le ministre d’espérer à la suite des travaux, des résultats de haute facture...
« Il a toujours été un partenaire privilégié de mon département », fera-t-il savoir.
« L’intérêt du secteur privé pour le développement local est aujourd’hui plus marqué, avec l’avènement de l’Acte 3 de la décentralisation qui cherche à rendre les territoires plus attrayants et plus productifs, capables de porter le développement durable de notre pays.
Dans nos territoires, le rôle du secteur s’élargit de plus en plus, à telle enseigne que le tandem secteur privé-secteur public devient de plus en plus fort. Il faudrait s’en réjouir. »
Par ailleurs dira-t-il, les collectivités territoriales devraient mieux saisir les opportunités qu’offre cette réalité et en tirer parti. « Pour cela, il faudrait, en particulier, qu’elles développent leur capital humain, qu’elles réduisent considérablement le potentiel de conflits avec ce partenaire essentiel qu’est l’entreprise ; car c’est bien l’entreprise qui apporte de l’innovation, de la créativité, des emplois, de la richesse, etc... »
L’université de la décentralisation, pour rappel, est un concept initié par le Cercle des Communicants en Décentralisation (2CD).
Cette initiative selon le ministre, épouse les contours de la stratégie de communication de son département validée au mois de juin 2016, car elle vient renforcer les actions entreprises par le Ministère de la Gouvernance locale, du Développement et de l’Aménagement du Territoire, pour mieux vulgariser les politiques qu’il est chargé de mettre en œuvre. Pour finir, le ministre d’espérer à la suite des travaux, des résultats de haute facture...
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