Le député provincial de Kinshasa Gérard Mulumba a comparu "devant un tribunal qui a siégé dans son lieu d'hospitalisation", a déclaré à l'AFP son avocat, Me Léon Ngombwa.
"C'est un acharnement du pouvoir qui veut le faire condamner par tous les moyens à travers un procès qui n'en est pas un", a ajouté Me Ngombwa.
L'élu local "souffre de complications rénales", a indiqué à l'AFP le député Léon Mulumba, son frère aîné. "Lors de cette audience, il n'a pu ni parler ni bouger de son lit d'hôpital", a-t-il ajouté.
Une ordonnance du parquet, largement partagée sur les réseaux sociaux, l'autorise depuis deux semaines à "suivre des soins dans un centre hospitalier approprié", a expliqué son avocat.
Mais l'avocat accuse la puissante Agence nationale des renseignements (ANR) d'avoir bloqué cette libération provisoire décidée par le parquet.
Gérard Mulumba a été arrêté le 10 novembre 2017 à l'aéroport de Kinshasa puis détenu au secret et transféré le 19 janvier dans une clinique de Kinshasa à cause de la dégradation de son état de santé, "constatée par des médecins commis par l'État", a expliqué son avocat.
L'élu, membre du parti historique d'opposition l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) risque au maximum une peine de deux années de prison, selon son avocat.
Le tribunal a promis de se prononcer "dans 48 heures".
Avec AFP
"C'est un acharnement du pouvoir qui veut le faire condamner par tous les moyens à travers un procès qui n'en est pas un", a ajouté Me Ngombwa.
L'élu local "souffre de complications rénales", a indiqué à l'AFP le député Léon Mulumba, son frère aîné. "Lors de cette audience, il n'a pu ni parler ni bouger de son lit d'hôpital", a-t-il ajouté.
Une ordonnance du parquet, largement partagée sur les réseaux sociaux, l'autorise depuis deux semaines à "suivre des soins dans un centre hospitalier approprié", a expliqué son avocat.
Mais l'avocat accuse la puissante Agence nationale des renseignements (ANR) d'avoir bloqué cette libération provisoire décidée par le parquet.
Gérard Mulumba a été arrêté le 10 novembre 2017 à l'aéroport de Kinshasa puis détenu au secret et transféré le 19 janvier dans une clinique de Kinshasa à cause de la dégradation de son état de santé, "constatée par des médecins commis par l'État", a expliqué son avocat.
L'élu, membre du parti historique d'opposition l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) risque au maximum une peine de deux années de prison, selon son avocat.
Le tribunal a promis de se prononcer "dans 48 heures".
Avec AFP
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