Le web, ce colosse aux pieds d'argile. Selon un article de l'expert en cyber-sécurité Bruce Scheiner repéré par Science Post, un plaisantin est monté en puissance ces deux dernières années en matière d'attaques de sites internet indispensables à la survie de toutes les autres pages en www.
Dans un billet un brin apocalyptique intitulé "Quelqu'un est en train d'apprendre à détruire Internet", l'ingénieur d'IBM et professeur à Harvard explique que la méthode utilisée est celle de "l'attaque par déni de service". Il s'agit de rendre un site inaccessible en lui envoyant un nombre ingérable de requêtes. Si ce hacking est dirigé contre une entreprise stratégique, les conséquences peuvent vite devenir dévastatrices. Dans le viseur régulièrement : Verisign. Cette société gère les noms de domaine du monde entier. "Si ce site tombe, c’est tout un pan de l’Internet mondial qui disparaît", s'alarme le scientifique.
Cela s'apparente à un acte d’espionnage ou de renseignementBruce Schneier, expert en cyber-sécurité
Les attaques en déni de service ne datent pas d'hier. Les hackers y recourent pour faire sauter les sites qui ne sont pas à leur goût. Mais depuis des mois, les offensives portent sur "un spectre plus large" et sont "plus sophistiquées". Surtout, elles donnent l’impression de "tester des choses", ce qui laisse supposer que le pirate est "en train d'apprendre".
A ce stade, le but semble être de tester leurs défenses et d’évaluer les moyens de les contourner", explique Bruce Schneier. Il écarte la piste d'un criminel ou d'un activiste. "Cela ressemble plutôt à un acte d’espionnage ou de renseignement" contre des Etats. S'il est impossible de localiser les attaques, l'ingénieur cite la Chine comme l'un des grands suspects des autorités.
Dans un billet un brin apocalyptique intitulé "Quelqu'un est en train d'apprendre à détruire Internet", l'ingénieur d'IBM et professeur à Harvard explique que la méthode utilisée est celle de "l'attaque par déni de service". Il s'agit de rendre un site inaccessible en lui envoyant un nombre ingérable de requêtes. Si ce hacking est dirigé contre une entreprise stratégique, les conséquences peuvent vite devenir dévastatrices. Dans le viseur régulièrement : Verisign. Cette société gère les noms de domaine du monde entier. "Si ce site tombe, c’est tout un pan de l’Internet mondial qui disparaît", s'alarme le scientifique.
Cela s'apparente à un acte d’espionnage ou de renseignementBruce Schneier, expert en cyber-sécurité
Les attaques en déni de service ne datent pas d'hier. Les hackers y recourent pour faire sauter les sites qui ne sont pas à leur goût. Mais depuis des mois, les offensives portent sur "un spectre plus large" et sont "plus sophistiquées". Surtout, elles donnent l’impression de "tester des choses", ce qui laisse supposer que le pirate est "en train d'apprendre".
A ce stade, le but semble être de tester leurs défenses et d’évaluer les moyens de les contourner", explique Bruce Schneier. Il écarte la piste d'un criminel ou d'un activiste. "Cela ressemble plutôt à un acte d’espionnage ou de renseignement" contre des Etats. S'il est impossible de localiser les attaques, l'ingénieur cite la Chine comme l'un des grands suspects des autorités.
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