La tension monte dangereusement à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) ce matin, où des affrontements violents ont éclaté entre étudiants et forces de l’ordre. Des grenades lacrymogènes ont rempli l’air, plongeant le campus dans un chaos total, et de nombreux étudiants blessés n’ont pas accès aux soins médicaux adéquats. Face à cette situation alarmante, les revendications du Collectif des amicales de l’UCAD sont de plus en plus pressantes.
Les étudiants en colère exigent des actions concrètes pour améliorer leurs conditions de vie sur le campus. La première demande concerne l’ouverture immédiate et sans exception de tous les restaurants universitaires, une mesure essentielle pour répondre aux besoins alimentaires de milliers de résidents. Les étudiants déplorent également le manque de médicaments d’urgence au service médical, une carence qui devient cruciale face à l’intensité des affrontements.
En plus des revendications sanitaires, le collectif exige aussi la réhabilitation du terrain de football, un espace vital pour la détente et les activités sportives. Enfin, la question des transports reste un point central : les étudiants résidant à l’Université Amadou Mahtar Mbow (UAM) réclament la mise à disposition de bus, indispensable pour faciliter leurs déplacements quotidiens.
Cette escalade de la violence témoigne d’un malaise profond parmi les étudiants de l’UCAD, qui se disent fatigués de ne pas être entendus. Le blocage persistant de leurs demandes a envenimé une situation déjà fragile, menaçant de dégénérer davantage si les autorités ne répondent pas rapidement aux besoins exprimés.
Dans un contexte où le dialogue semble rompu, l’UCAD s’enfonce dans une crise qui, au-delà des murs de l’université, pourrait devenir un symbole de la frustration grandissante de la jeunesse sénégalaise face aux problèmes récurrents dans le secteur de l’éducation.
Les étudiants en colère exigent des actions concrètes pour améliorer leurs conditions de vie sur le campus. La première demande concerne l’ouverture immédiate et sans exception de tous les restaurants universitaires, une mesure essentielle pour répondre aux besoins alimentaires de milliers de résidents. Les étudiants déplorent également le manque de médicaments d’urgence au service médical, une carence qui devient cruciale face à l’intensité des affrontements.
En plus des revendications sanitaires, le collectif exige aussi la réhabilitation du terrain de football, un espace vital pour la détente et les activités sportives. Enfin, la question des transports reste un point central : les étudiants résidant à l’Université Amadou Mahtar Mbow (UAM) réclament la mise à disposition de bus, indispensable pour faciliter leurs déplacements quotidiens.
Cette escalade de la violence témoigne d’un malaise profond parmi les étudiants de l’UCAD, qui se disent fatigués de ne pas être entendus. Le blocage persistant de leurs demandes a envenimé une situation déjà fragile, menaçant de dégénérer davantage si les autorités ne répondent pas rapidement aux besoins exprimés.
Dans un contexte où le dialogue semble rompu, l’UCAD s’enfonce dans une crise qui, au-delà des murs de l’université, pourrait devenir un symbole de la frustration grandissante de la jeunesse sénégalaise face aux problèmes récurrents dans le secteur de l’éducation.
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