Nouvelle polémique autour de Donald Trump. Alors que le milliardaire vient tout juste d'obtenir l'investiture républicaine pour la prochaine élection présidentielle américaine, une maquilleuse qui avait porté plainte contre lui pour tentative de viol en 1997 a décidé de sortir du silence. Près de 20 ans après les faits, Jill Harth s'est confiée dans une interview au Guardian. Elle avait commencé à travailler pour lui en 1992. À l'époque, elle affirme avoir subi les avances insistantes de Donald Trump lors d'une soirée dans le manoir de l'homme d'affaires en Floride.
« Il m'a poussée contre le mur de la chambre, m'a tripotée et a de nouveau essayé de soulever ma robe. J'ai dû lui dire : Qu'est-ce que tu fais ? Arrête ! C'était choquant de sa part de faire cela parce qu'il savait que j'étais en couple avec George et il savait qu'il était dans la pièce d'à côté avec les autres », a-t-elle raconté dans les colonnes du Guardian. Jill Harth avait déposé une plainte en 1997 avant de la retirer quelques jours plus tard. Traitée de menteuse par la famille Trump, elle a aujourd'hui décidé d'engager une avocate. « Personne ne m'a défendue, c'est pour ça que je prends la parole. Vous pouvez me croire ou non, mais j'ai vécu un enfer et je dois le revivre aujourd'hui », a déclaré Jill Harth.
Trois victimes ?
Une prise de parole qui tombe mal pour le candidat républicain à la Maison-Blanche, qui tente, après plusieurs mois de provocations, d'édulcorer ses discours pour fédérer le plus d'Américains possible autour de sa candidature. D'autant que ce cas pourrait ne pas être isolé. Fin juin, le Huffington Post américain évoquait la présence dans un dossier d'une inconnue qui aurait porté plainte contre Donald Trump en 1994 pour viol, alors qu'elle n'était âgée que de 13 ans au moment des faits.
Deux affaires qui viennent s'ajouter aux confessions de la première femme de Donald Trump, Ivana Trump, dans un livre dans lequel elle décrivait certains de leurs rapports sexuels en expliquant qu'elle s'était « sentie violée ». À court terme, cela pourrait bien embarrasser le candidat républicain dans sa course à la Maison-Blanche.
« Il m'a poussée contre le mur de la chambre, m'a tripotée et a de nouveau essayé de soulever ma robe. J'ai dû lui dire : Qu'est-ce que tu fais ? Arrête ! C'était choquant de sa part de faire cela parce qu'il savait que j'étais en couple avec George et il savait qu'il était dans la pièce d'à côté avec les autres », a-t-elle raconté dans les colonnes du Guardian. Jill Harth avait déposé une plainte en 1997 avant de la retirer quelques jours plus tard. Traitée de menteuse par la famille Trump, elle a aujourd'hui décidé d'engager une avocate. « Personne ne m'a défendue, c'est pour ça que je prends la parole. Vous pouvez me croire ou non, mais j'ai vécu un enfer et je dois le revivre aujourd'hui », a déclaré Jill Harth.
Trois victimes ?
Une prise de parole qui tombe mal pour le candidat républicain à la Maison-Blanche, qui tente, après plusieurs mois de provocations, d'édulcorer ses discours pour fédérer le plus d'Américains possible autour de sa candidature. D'autant que ce cas pourrait ne pas être isolé. Fin juin, le Huffington Post américain évoquait la présence dans un dossier d'une inconnue qui aurait porté plainte contre Donald Trump en 1994 pour viol, alors qu'elle n'était âgée que de 13 ans au moment des faits.
Deux affaires qui viennent s'ajouter aux confessions de la première femme de Donald Trump, Ivana Trump, dans un livre dans lequel elle décrivait certains de leurs rapports sexuels en expliquant qu'elle s'était « sentie violée ». À court terme, cela pourrait bien embarrasser le candidat républicain dans sa course à la Maison-Blanche.
Autres articles
-
SG El H. Malick Youm du Saemss: « notre système éducatif est malade».
-
L'appel du pied du président BDF : La position tranchée du SAEMS sur le Jub - Jubeul - Jubunti.
-
Visite de chantier : le maire de la ville de Dakar lance les travaux d’installation des panneaux solaires dans les mosquées de liberté 3 et de l’unité 13 des Parcelles assainies
-
Luc Nicolaï : «Je n'ai plus envie d'organiser des combats de lutte...»
-
Wouly inconsolable à l'inhumation de Gaston : «J'ai perdu un père... mon fils porte son prénom!»