La région de Dakar perd 900 milliards de francs Cfa du fait des externalités négatives liées aux transports routiers. La révélation a été faite par le Directeur général du CETUD Docteur Thierno Birahim Aw à l'occasion de la cérémonie de lancement de la première phase du projet de restructuration du réseau de transport en commun. Selon lui, c'est à la hauteur de ces sommes astronomique qu'il faut évaluer l'urgence d'agir, d'apporter des solutions durables à la mobilité. "Cette ville faisait 400 000 habitants en 1970. Nous sommes 4 millions aujourd'hui", a déclaré Docteur Thierno Birahim Aw.
Concernant la motorisation, M. Aw a fait savoir qu'aujourd'hui seulement 30 % des déplacements sont motorisés. Donc on n'a même pas démarré en réalité, je ne voudrais pas annoncer cette mauvaise nouvelle, mais on n'a même pas démarré à évaluer les grosses difficultés que nous avons avec".
Selon lui, les niveaux de motorisation sont encore faibles. "Nous sommes à 30 véhicules particuliers en moyenne pour 1000 personnes quand les pays développés font 500 véhicules pour 1000 et en Amérique du Nord 600 véhicules", indique-t-il.
Pour améliorer la situation, selon le Dg du CETUD, la seule option c'est d'opérer un changement de paradigme en privilégiant la mobilité collective et active, la mobilité collective parce que c'est le seul moyen de répondre aux exigences d'une capitale viable est vivable.
Concernant la motorisation, M. Aw a fait savoir qu'aujourd'hui seulement 30 % des déplacements sont motorisés. Donc on n'a même pas démarré en réalité, je ne voudrais pas annoncer cette mauvaise nouvelle, mais on n'a même pas démarré à évaluer les grosses difficultés que nous avons avec".
Selon lui, les niveaux de motorisation sont encore faibles. "Nous sommes à 30 véhicules particuliers en moyenne pour 1000 personnes quand les pays développés font 500 véhicules pour 1000 et en Amérique du Nord 600 véhicules", indique-t-il.
Pour améliorer la situation, selon le Dg du CETUD, la seule option c'est d'opérer un changement de paradigme en privilégiant la mobilité collective et active, la mobilité collective parce que c'est le seul moyen de répondre aux exigences d'une capitale viable est vivable.
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