Les députés de l’assemblée nationale vont se pencher sur le vote du projet de loi portant amnistie des faits qui se sont déroulés entre 2021 et 2023, ce mercredi 06 mars 2024.
Cette initiative prise par le chef de l’État pour pacifier l’espace politico-judiciaire lors de son entretien avec une certaine partie de la presse nationale n’enchante pas beaucoup d’acteurs politiques et de la société civile. C’est le cas du président de Agir, Thierno Bocoum. Si d’aucuns ont clairement dit « non », d’autres comme l'ex Pastef se sont abstenus tout simplement lors de l’examen du projet de loi portant amnistie.
Mais pour Thierno Bocoum, « Voter pour ou s’abstenir de voter contre cette loi d’amnistie c’est délivrer un permis de tuer, de saccager, de torturer en toute impunité. Quand on refuse, on dit non », lâche-t-il.
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