Le président de la République des Valeurs (RV), candidat à l’élection présidentielle, fait le point sur ce qu’il considère comme « une pièce de théâtre avec comme metteur en scène , le Président Macky Sall ». Le dialogue a livré ses premières propositions. Mais TAS estime que « ses dialogueurs » ont livré à 100 % sa commande.
Il a été retenu ce mardi, pour le premier tour de l'élection présidentielle, le 2 juin et la réintégration de certains candidats écartés par le Conseil Constitutionnel, dont Karim Wade. « C’est un parjure récidiviste. Triste Pays où un parjure a pour avocat le Président de la République et ses obligés » dénonce Thierno Alassane Sall précisant que « Macky Sall et ses complices oublient juste un détail : si tous les partis politiques du Sénégal, l'ensemble de la société civile, les candidats officiels ou recalés, se mettaient d'accord, leur consensus ne saurait prévaloir sur la Constitution. Son assemblée sélectionnée de Diamniadio a moins de légitimité que l'Assemblée nationale du Sénégal. Et on sait la décision irrévocable du Conseil constitutionnel sur le "consensus" de l'Assemblée nationale visant à violer la Constitution et à reporter l'élection présidentielle ».
Thierno Alassane Sall estime qu’il y a de la Haute trahison dans ce que fait le Président Macky Sall qui persiste à piétiner la Constitution. Dès lors, il considère que le Conseil constitutionnel du Sénégal ne peut que persister et signer, sauf reniement, que « fixer l'élection présidentielle après le 2 avril est anticonstitutionnel ».
Il a été retenu ce mardi, pour le premier tour de l'élection présidentielle, le 2 juin et la réintégration de certains candidats écartés par le Conseil Constitutionnel, dont Karim Wade. « C’est un parjure récidiviste. Triste Pays où un parjure a pour avocat le Président de la République et ses obligés » dénonce Thierno Alassane Sall précisant que « Macky Sall et ses complices oublient juste un détail : si tous les partis politiques du Sénégal, l'ensemble de la société civile, les candidats officiels ou recalés, se mettaient d'accord, leur consensus ne saurait prévaloir sur la Constitution. Son assemblée sélectionnée de Diamniadio a moins de légitimité que l'Assemblée nationale du Sénégal. Et on sait la décision irrévocable du Conseil constitutionnel sur le "consensus" de l'Assemblée nationale visant à violer la Constitution et à reporter l'élection présidentielle ».
Thierno Alassane Sall estime qu’il y a de la Haute trahison dans ce que fait le Président Macky Sall qui persiste à piétiner la Constitution. Dès lors, il considère que le Conseil constitutionnel du Sénégal ne peut que persister et signer, sauf reniement, que « fixer l'élection présidentielle après le 2 avril est anticonstitutionnel ».
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