Le président sierra-léonais Julius Maada Bio a promis que la réponse à la tentative de coup d'Etat il y a une semaine serait dictée par "le respect du droit" dans un discours à la nation samedi.
"Notre réponse aux événements du 26 novembre sera mesurée et déterminée par un seul paramètre : le respect du droit. Ni plus ni moins", a déclaré le président Bio.
Aux premières heures du 26 novembre, des hommes ont attaqué une armurerie militaire, deux autres casernes, deux prisons et deux postes de police, affrontant les forces de sécurité les armes à la main.
Les combats ont fait 21 morts, 14 soldats, un policier, un gardien de prison, un agent de sécurité, une femme et trois assaillants, selon le ministre de l'Information Chernor Bah.
Treize militaires et un civil soupçonnés d'être impliqués dans le coup de force sont en détention, avait annoncé mardi ce ministre.
Le même jour, la police avait diffusé les photos et les noms de 32 hommes et deux femmes recherchés en tant que "fugitifs", dont des soldats et des policiers en activité ou à la retraite. Et promis une "belle récompense" à quiconque fournirait des informations conduisant à leur capture.
"La tentative de coup d'État sera traitée par mon gouvernement comme une simple question d'ordre public et non comme une question politique, tribale ou religieuse", a dit samedi M. Bio, réélu en juin pour un second mandat.
"Soyez tous assurés (...) que tous les coupables, quel que soit leur statut, devront répondre de leurs actes dans les limites de la loi", a-t-il assuré.
Déjà qualifiés comme telle par son gouvernement, le président Bio a affirmé que les événements du 26 novembre "étaient clairement et sans ambiguïté une tentative de coup d’État".
L'action des assaillants "était préméditée et coordonnée pour renverser le gouvernement démocratiquement élu par des moyens violents et illégaux, renverser l'ordre constitutionnel et inverser nos décennies d'investissement dans la paix et la démocratie", a-t-il poursuivi.
La région ouest-africaine est marquée depuis 2020 par la multiplication des coups d'Etat, au Mali, au Burkina Faso, au Niger et en Guinée. Samedi soir, le président bissau-guinéen a également dénoncé une "tentative de coup d'Etat" après des affrontements entre l'armée et des éléments des forces de sécurité dans la nuit de jeudi à vendredi.
"Notre réponse aux événements du 26 novembre sera mesurée et déterminée par un seul paramètre : le respect du droit. Ni plus ni moins", a déclaré le président Bio.
Aux premières heures du 26 novembre, des hommes ont attaqué une armurerie militaire, deux autres casernes, deux prisons et deux postes de police, affrontant les forces de sécurité les armes à la main.
Les combats ont fait 21 morts, 14 soldats, un policier, un gardien de prison, un agent de sécurité, une femme et trois assaillants, selon le ministre de l'Information Chernor Bah.
Treize militaires et un civil soupçonnés d'être impliqués dans le coup de force sont en détention, avait annoncé mardi ce ministre.
Le même jour, la police avait diffusé les photos et les noms de 32 hommes et deux femmes recherchés en tant que "fugitifs", dont des soldats et des policiers en activité ou à la retraite. Et promis une "belle récompense" à quiconque fournirait des informations conduisant à leur capture.
"La tentative de coup d'État sera traitée par mon gouvernement comme une simple question d'ordre public et non comme une question politique, tribale ou religieuse", a dit samedi M. Bio, réélu en juin pour un second mandat.
"Soyez tous assurés (...) que tous les coupables, quel que soit leur statut, devront répondre de leurs actes dans les limites de la loi", a-t-il assuré.
Déjà qualifiés comme telle par son gouvernement, le président Bio a affirmé que les événements du 26 novembre "étaient clairement et sans ambiguïté une tentative de coup d’État".
L'action des assaillants "était préméditée et coordonnée pour renverser le gouvernement démocratiquement élu par des moyens violents et illégaux, renverser l'ordre constitutionnel et inverser nos décennies d'investissement dans la paix et la démocratie", a-t-il poursuivi.
La région ouest-africaine est marquée depuis 2020 par la multiplication des coups d'Etat, au Mali, au Burkina Faso, au Niger et en Guinée. Samedi soir, le président bissau-guinéen a également dénoncé une "tentative de coup d'Etat" après des affrontements entre l'armée et des éléments des forces de sécurité dans la nuit de jeudi à vendredi.
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