Dans son rapport 2022 sur les pratiques au Sénégal dans le cadre de la préservation des droits humains, le département d’État américain s’est prononcé sur la question du conflit en Casamance. Cette rébellion qui a duré plusieurs décennies, d’après le département d’État américain, a subi des évolutions.
Le bureau de la démocratie et des droits humains note que le président Sall a effectivement poursuivi ses efforts pour résoudre le conflit qui oppose depuis 40 ans les séparatistes et les forces de sécurité gouvernementales dans la région méridionale de la Casamance. D’ailleurs, une belle occasion pour la représentation américaine en matière de relations internationales pour rappeler, la signature, le 4 août 2022, avec des représentants du gouvernement, d’un accord avec le comité provisoire du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (MFDC) en Guinée-Bissau.
Cependant, considère le bureau des droits humains du département d’État américain, les ONG ont noté que l'absence du chef du MFDC, Salif Sadio, soulève des questions quant à l'utilité et à la durabilité de l'accord. L'armée a mené plusieurs opérations aériennes et terrestres pour faciliter le retour des populations locales déplacées par le conflit. Ce qu‘il y’a toutefois, pour revenir à l’importance de ce rapport qui considère les droits humains, à déplorer, demeure ces actes de banditisme ont été attribués aux rebelles du MFDC, au cours desquels ils ont détenu des civils. Des abus physiques et des tortures perpétrées par des rebelles du MFDC qui ont parfois blessé des civils en commettant des actes criminels sans lien avec les opérations militaires.
Le bureau de la démocratie et des droits humains note que le président Sall a effectivement poursuivi ses efforts pour résoudre le conflit qui oppose depuis 40 ans les séparatistes et les forces de sécurité gouvernementales dans la région méridionale de la Casamance. D’ailleurs, une belle occasion pour la représentation américaine en matière de relations internationales pour rappeler, la signature, le 4 août 2022, avec des représentants du gouvernement, d’un accord avec le comité provisoire du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (MFDC) en Guinée-Bissau.
Cependant, considère le bureau des droits humains du département d’État américain, les ONG ont noté que l'absence du chef du MFDC, Salif Sadio, soulève des questions quant à l'utilité et à la durabilité de l'accord. L'armée a mené plusieurs opérations aériennes et terrestres pour faciliter le retour des populations locales déplacées par le conflit. Ce qu‘il y’a toutefois, pour revenir à l’importance de ce rapport qui considère les droits humains, à déplorer, demeure ces actes de banditisme ont été attribués aux rebelles du MFDC, au cours desquels ils ont détenu des civils. Des abus physiques et des tortures perpétrées par des rebelles du MFDC qui ont parfois blessé des civils en commettant des actes criminels sans lien avec les opérations militaires.
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