Les séances de remédiation des étudiants de la Fac de Lettres de l'Ucad, initialement prévues au Cices, ne sont pas effectives.
Pour cause, l’administration universitaire doit sortir le chèque pour payer les charges locatives au Cices. Joint par nos confrères d’Iradio, le directeur général du CICES, Saliou Keïta attend le responsable de l’Ucad pour pouvoir ouvrir la porte aux étudiants.
Pour cause, l’administration universitaire doit sortir le chèque pour payer les charges locatives au Cices. Joint par nos confrères d’Iradio, le directeur général du CICES, Saliou Keïta attend le responsable de l’Ucad pour pouvoir ouvrir la porte aux étudiants.
« Le Cices a été choisi comme d’autres lieux tels que l’institut Islamique, le lycée Delafosse etc.… mais c’est différent. Parce que, le Cices est une institution de l’État certes, mais nous sommes une structure événementielle. Nous avons nos salles, nous avons nos pavillons, nous avons de l’espace que nous mettons en location. Parce que l'État ne nous donne que 20% de notre budget. Les charges, les salaires sont payés à partir des recettes d’exploitation. Si nous acceptons de recevoir les étudiants, ça ne devrait pas être gratuit. Sinon à la fin du mois, j’aurais des problèmes pour payer les salaires. On veut régler un problème, mais il ne faut pas créer un autre problème », fait-il savoir.
Toutefois, Saliou Keïta espère que les responsables de l’Ucad réagiront face à cette situation.
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