Le report de l'élection présidentielle au Sénégal n'est pas du goût de l'Union Européenne. Selon sa porte-parole, Nabila Massrali, l'UE est " très préoccupée par le report du scrutin présidentiel prévu pour le 25 février au 15 décembre 2024".
À l'en croire, ce report " entache la longue tradition de démocratie au Sénégal et ouvre une période de grande incertitude au Sénégal".
" L'UE regrette que cette décision majeure qui concerne un moment clé de l'exercice démocratique par l'ensemble des citoyens, soit intervenue sans étroite concertation avec l'ensemble des acteurs politiques de manière inclusive et transparente. Et en lien avec la déclaration de la CEDEAO, l'UE demande instamment à la classe politique de prendre rapidement les mesures nécessaires visant à rétablir le calendrier électoral conformément à la constitution du Sénégal et à la charte de la CEDEAO. Les impacts de ce report sur la stabilité et la cohésion sociale du pays, sont déjà visibles.
C'est pourquoi, " L'UE rappelle à ce titre que l'exercice des libertés fondamentales comme celles de manifester et de s'exprimer, sont des principes fondamentaux d'État de droit qui ne doivent souffrir d'aucune exception", a ajouté la porte-parole, Nabila Massrali.
À l'en croire, ce report " entache la longue tradition de démocratie au Sénégal et ouvre une période de grande incertitude au Sénégal".
" L'UE regrette que cette décision majeure qui concerne un moment clé de l'exercice démocratique par l'ensemble des citoyens, soit intervenue sans étroite concertation avec l'ensemble des acteurs politiques de manière inclusive et transparente. Et en lien avec la déclaration de la CEDEAO, l'UE demande instamment à la classe politique de prendre rapidement les mesures nécessaires visant à rétablir le calendrier électoral conformément à la constitution du Sénégal et à la charte de la CEDEAO. Les impacts de ce report sur la stabilité et la cohésion sociale du pays, sont déjà visibles.
C'est pourquoi, " L'UE rappelle à ce titre que l'exercice des libertés fondamentales comme celles de manifester et de s'exprimer, sont des principes fondamentaux d'État de droit qui ne doivent souffrir d'aucune exception", a ajouté la porte-parole, Nabila Massrali.
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