Le président de l'Alliance pour la citoyenneté et le travail (ACT), Abdoul Mbaye plaide pour la tenue du scrutin dans les plus brefs délais à défaut de respecter le calendrier républicain. Pour lui, il faut agir pour sauver ce qui peut l’être après le coup de force du régime de Macky Sall.
« Le régime BBY a échoué. Tâchons de préserver le Sénégal et son Peuple des conséquences de cet échec. L’idéal serait de respecter la date du 25 février. Mais si cette date ne pouvait être tenue, ou si nous refusons le risque d’aller vers des élections sabotées, le débat doit devenir le suivant: comment ramener le plus rapidement possible l’élection reportée sans la compromettre de nouveau par de la violence et du désordre qui seraient prétextes pour créer des situations d’exception avec ou sans ceux qui les auraient créées, et donc sans causer de nouveaux reports», a indiqué, ce 7 fevrier, sur X le candidat recalé. Pour Abdoul Mbaye, il faut aller dans le sens d’une solution qui peut garantir le rétablissement de l’Etat de droit.
« La gestion de la grave crise qui s’est installée doit viser la sauvegarde à la fois de notre démocratie et de notre République. Le management de crise est au bord de précipice et exige toujours beaucoup de lucidité, y compris dans la recherche de compromis exigeants. », a-t-il conclu.
« Le régime BBY a échoué. Tâchons de préserver le Sénégal et son Peuple des conséquences de cet échec. L’idéal serait de respecter la date du 25 février. Mais si cette date ne pouvait être tenue, ou si nous refusons le risque d’aller vers des élections sabotées, le débat doit devenir le suivant: comment ramener le plus rapidement possible l’élection reportée sans la compromettre de nouveau par de la violence et du désordre qui seraient prétextes pour créer des situations d’exception avec ou sans ceux qui les auraient créées, et donc sans causer de nouveaux reports», a indiqué, ce 7 fevrier, sur X le candidat recalé. Pour Abdoul Mbaye, il faut aller dans le sens d’une solution qui peut garantir le rétablissement de l’Etat de droit.
« La gestion de la grave crise qui s’est installée doit viser la sauvegarde à la fois de notre démocratie et de notre République. Le management de crise est au bord de précipice et exige toujours beaucoup de lucidité, y compris dans la recherche de compromis exigeants. », a-t-il conclu.
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