La Confédération pour la démocratie et le socialisme (Cds) regroupant ses membres s’est prononcé sur le report de l’élection présidentielle acté par la représentation nationale hier. Pour ces partis de gauche, « non seulement ce report est juridiquement impossible mais aussi politiquement inopportun. De plus, il n'existe dans le pays aucune crise institutionnelle, aucune interruption du fonctionnement régulier des institutions pouvant justifier un tel report ».
C'est pourquoi, fidèle à ses convictions et à ses positions constantes, fondées sur le respect des principes républicains dont le respect du calendrier électoral, la défense de la démocratie et de l'Etat de droit et des intérêts des populations, la CDS rejette catégoriquement toute tentative de banaliser et de décrédibiliser les institutions républicaines, quelles qu'elles soient : le Président de la République, l'Assemblée nationale, le Conseil constitutionnel, les Cours et tribunaux, le Gouvernement.
La CDS rappelle qu'aucun intérêt privé ne peut primer sur l'intérêt national. Elle rejette également toute tentative ou velléité de tenir l'élection à une date autre que celle fixée en conformité avec les règles qui régissent les consultations électorales. C'est pourquoi, la CDS avec Massirin SAVANE (AJ/PADS/A), Cheikh Mouhamadou Bassirou SARR (AJS), Jean Léopold GUEYE (CNNO), Nicolas NDIAYE (LD), Mamadou Bana WAGUE (MRG), Cheikh SARR (NIAXX JARINU/MAG), Samba SY (PIT-S), El Hadj Momar SAMBE (RIA-S) et Pr Pape Demba SY (UDF/MBOOLOO MI) exige de tous les acteurs le respect des prérogatives de toutes les institutions, gage de la stabilité et de la paix civile et du calendrier républicain et la tenue de l'élection présidentielle le 25 février 2024.
C'est pourquoi, fidèle à ses convictions et à ses positions constantes, fondées sur le respect des principes républicains dont le respect du calendrier électoral, la défense de la démocratie et de l'Etat de droit et des intérêts des populations, la CDS rejette catégoriquement toute tentative de banaliser et de décrédibiliser les institutions républicaines, quelles qu'elles soient : le Président de la République, l'Assemblée nationale, le Conseil constitutionnel, les Cours et tribunaux, le Gouvernement.
La CDS rappelle qu'aucun intérêt privé ne peut primer sur l'intérêt national. Elle rejette également toute tentative ou velléité de tenir l'élection à une date autre que celle fixée en conformité avec les règles qui régissent les consultations électorales. C'est pourquoi, la CDS avec Massirin SAVANE (AJ/PADS/A), Cheikh Mouhamadou Bassirou SARR (AJS), Jean Léopold GUEYE (CNNO), Nicolas NDIAYE (LD), Mamadou Bana WAGUE (MRG), Cheikh SARR (NIAXX JARINU/MAG), Samba SY (PIT-S), El Hadj Momar SAMBE (RIA-S) et Pr Pape Demba SY (UDF/MBOOLOO MI) exige de tous les acteurs le respect des prérogatives de toutes les institutions, gage de la stabilité et de la paix civile et du calendrier républicain et la tenue de l'élection présidentielle le 25 février 2024.
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