Monsieur le Directeur de DakarActu,
Suite à votre publication « PRÉSIDENCE- Les photographes Sénégalais mis à l'écart pour recyclage … Lionel Mandeix se présente comme un « simple » formateur
En cette journée du 3 Mai, journée internationale de la liberté de presse, je vous dis, je nous dis Bonne fête.
Je me permets de réagir face à ce manque de respect d’un collègue par rapport aux travaux d’autres collègues. « … piètre qualité des photos, absence de maîtrise de certains logiciels de traitement de photos, défaut de maîtrise de la fonction sous certains de ses aspects…» Si c’est vraiment ce qu’à dit Monsieur Mandeix, je trouve la phrase discourtoise et ne l’approuve pas du tout. Prestataire et formateur, qu’il joue son rôle, mais parler ainsi d’autres collègues pose problème.
Je ne suis candidat à rien. Je reconnais les qualités d’excellent photographe de Lionel, mais le Sénégal rengorge aussi d’excellents photographes également. Le mythe du Blanc ou le complexe du Blanc est également un autre problème sénégalais. Certaines mentalités sont encore à décoloniser.
Les collègues de la Présidence ont certes besoin de recyclages, mais la méthodologie utilisée est loin d’être la bonne. La photographie comme beaucoup de métiers, surtout aujourd’hui, avec la technologie qui évolue à une grande vitesse, est une affaire de mise à jour, pour être compétitif et performant. Les collègues, au lieu de dormir sur le titre, auraient du réclamer ce recyclage supplémentaire, pour mieux porter leurs nouveaux habits. Ce recyclage ne nécessite aucunement « leur mise en quarantaine ». C’est le terrain qui commande. D’autres photographes, par exemple ceux de
Le Soleil ou de l’APS font ils aussi de « piètres photographies » ?
Bien cordialement
Erick Christian AHOUNOU
Photojournaliste
Suite à votre publication « PRÉSIDENCE- Les photographes Sénégalais mis à l'écart pour recyclage … Lionel Mandeix se présente comme un « simple » formateur
En cette journée du 3 Mai, journée internationale de la liberté de presse, je vous dis, je nous dis Bonne fête.
Je me permets de réagir face à ce manque de respect d’un collègue par rapport aux travaux d’autres collègues. « … piètre qualité des photos, absence de maîtrise de certains logiciels de traitement de photos, défaut de maîtrise de la fonction sous certains de ses aspects…» Si c’est vraiment ce qu’à dit Monsieur Mandeix, je trouve la phrase discourtoise et ne l’approuve pas du tout. Prestataire et formateur, qu’il joue son rôle, mais parler ainsi d’autres collègues pose problème.
Je ne suis candidat à rien. Je reconnais les qualités d’excellent photographe de Lionel, mais le Sénégal rengorge aussi d’excellents photographes également. Le mythe du Blanc ou le complexe du Blanc est également un autre problème sénégalais. Certaines mentalités sont encore à décoloniser.
Les collègues de la Présidence ont certes besoin de recyclages, mais la méthodologie utilisée est loin d’être la bonne. La photographie comme beaucoup de métiers, surtout aujourd’hui, avec la technologie qui évolue à une grande vitesse, est une affaire de mise à jour, pour être compétitif et performant. Les collègues, au lieu de dormir sur le titre, auraient du réclamer ce recyclage supplémentaire, pour mieux porter leurs nouveaux habits. Ce recyclage ne nécessite aucunement « leur mise en quarantaine ». C’est le terrain qui commande. D’autres photographes, par exemple ceux de
Le Soleil ou de l’APS font ils aussi de « piètres photographies » ?
Bien cordialement
Erick Christian AHOUNOU
Photojournaliste
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