Le ministre de l’urbanisme, du logement et de l’hygiène publique, Abdou karim Fofana, a présidé ce mardi 8 octobre un atelier sur la restitution des travaux des commissions dans le cadre du projet de construction de 100.000 logements sociaux. Cette rencontre avait pour objectif de partager avec les acteurs les résultats et recommandations des différentes commissions et recueillir les contributions avant de valider les rapports de ces derniers.
À en croire Mr le ministre, « 40% des Sénégalais vivent dans des bidonvilles. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles le président de la République Macky Sall a indiqué que son objectif est d’éradiquer ce problème, mais aussi de les prévenir en accélérant l’offre en logements accessibles aux populations, c’est à dire dans des zones urbanisées, organisées avec des infrastructures sociales de base comme l’accès à l’eau, l’électricité, l’évacuation des eaux pluviales et usées, mais aussi un logement accessible de par son coût et par le mode de financement ».
À ce titre, Mr Fofana souligne que cet atelier avec les partenaires avait pour but d’avoir d’abord un consensus sur les modalités de sorte que le logement social, comme dans tous les pays du monde, soit un instrument pour régler les fractures sociales et devienne un outil de croissance. Poursuivant son propos, il précise : « ce programme sera réalisé dans les pôles urbains mais aussi hors des pôles urbains c’est-à-dire dans tous les communes du Sénégal ayant plus de 10.000 habitants ».
Concernant les critères des demandeurs, le ministre a rappelé que les logements sont d’abord destinés aux sénégalais qui ne sont pas propriétaires de logements. Pour être bénéficiaire, il faut être sénégalais, avoir une activité économique salariée ou non salariée formelle ou informelle...
À en croire Mr le ministre, « 40% des Sénégalais vivent dans des bidonvilles. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles le président de la République Macky Sall a indiqué que son objectif est d’éradiquer ce problème, mais aussi de les prévenir en accélérant l’offre en logements accessibles aux populations, c’est à dire dans des zones urbanisées, organisées avec des infrastructures sociales de base comme l’accès à l’eau, l’électricité, l’évacuation des eaux pluviales et usées, mais aussi un logement accessible de par son coût et par le mode de financement ».
À ce titre, Mr Fofana souligne que cet atelier avec les partenaires avait pour but d’avoir d’abord un consensus sur les modalités de sorte que le logement social, comme dans tous les pays du monde, soit un instrument pour régler les fractures sociales et devienne un outil de croissance. Poursuivant son propos, il précise : « ce programme sera réalisé dans les pôles urbains mais aussi hors des pôles urbains c’est-à-dire dans tous les communes du Sénégal ayant plus de 10.000 habitants ».
Concernant les critères des demandeurs, le ministre a rappelé que les logements sont d’abord destinés aux sénégalais qui ne sont pas propriétaires de logements. Pour être bénéficiaire, il faut être sénégalais, avoir une activité économique salariée ou non salariée formelle ou informelle...
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