" Il est apparu dans les médias des informations selon lesquelles nous envisagerions de contester la candidature de Mme Rose Wardini en raison d'une prétendue non-conformité avec l'exigence de nationalité sénégalaise exclusive. Nous tenons à clarifier qu'il n'y a aucune vérité dans ces allégations. Avec la publication de la liste définitive des candidats, la période de dépôt de toute réclamation est révolue, conformément aux dispositions constitutionnelles", a déclaré M. Sall.
Dans son communiqué, Thierno Alassane Sall de préciser. " Néanmoins, nous demeurons attentifs et vigilants dans cette affaire. Nous sommes d'avis que si, avant le jour de l'élection, il est prouvé qu'un candidat a fourni une déclaration sur l'honneur concernant sa nationalité qui s'avère être fausse, ce dernier devra être amené par la volonté populaire à renoncer à sa candidature".
TAS a tenu à exprimer son désaccord par rapport un éventuel report des élections. " Nous rejetons fermement toute idée de report des élections, qui ne repose sur aucune base juridique. Le PDS, qui s'est mué en Parti du parjure, tente un forcing infondé et insensé pour réintroduire dans la course un homme que la morale et la loi excluent. Le Conseil constitutionnel, sauf à céder à l'ignoble chantage des coalisés BBY et WALLU, ne pourra que retoquer ce projet de report, que l'opposant Macky Sall déclarait autrefois impossible selon la Constitution".
Avant d'enfoncer le clou. " Aucun arrangement en coulisses, aucune forfaiture contre l'intérêt du peuple ne sera toléré. L'élection présidentielle se tiendra le 25 février 2024, n'en déplaise aux sorciers du chaos".
Dans son communiqué, Thierno Alassane Sall de préciser. " Néanmoins, nous demeurons attentifs et vigilants dans cette affaire. Nous sommes d'avis que si, avant le jour de l'élection, il est prouvé qu'un candidat a fourni une déclaration sur l'honneur concernant sa nationalité qui s'avère être fausse, ce dernier devra être amené par la volonté populaire à renoncer à sa candidature".
TAS a tenu à exprimer son désaccord par rapport un éventuel report des élections. " Nous rejetons fermement toute idée de report des élections, qui ne repose sur aucune base juridique. Le PDS, qui s'est mué en Parti du parjure, tente un forcing infondé et insensé pour réintroduire dans la course un homme que la morale et la loi excluent. Le Conseil constitutionnel, sauf à céder à l'ignoble chantage des coalisés BBY et WALLU, ne pourra que retoquer ce projet de report, que l'opposant Macky Sall déclarait autrefois impossible selon la Constitution".
Avant d'enfoncer le clou. " Aucun arrangement en coulisses, aucune forfaiture contre l'intérêt du peuple ne sera toléré. L'élection présidentielle se tiendra le 25 février 2024, n'en déplaise aux sorciers du chaos".
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