Prévenu pour des faits de collecte illicite de données à caractère personnels et détention illégale d’arme, le ressortissant français, Pierre C. A. Dollander a attiré l’attention du public lorsqu’il a été appelé à la barre. Faisant l'objet d’un mandat de dépôt depuis le 12 février dernier, le mis en cause est trainé à la barre par le jeune D.
Sèye a cherché tant bien que mal à vouloir se donner de la valeur.
Appelé, ce 15 février à la barre du tribunal correctionnel, il n’a pas reconnu l’avocat sénégalais qui a voulu le défendre. Il a tout bonnement demandé à entrer en contact avec ses avocats.
« Je ne veux pas de lui. Je ne le reconnais pas. Je ne veux pas des avocats d’ici. Je voudrais qu’on me permette de saisir mes avocats internationaux. On m’a retenu et je voudrais une assistance de mes avocats », a soutenu le prévenu. Il ne s’est pas limité à cela. Il s’est aussi plaint des conditions de détention.
« Vous êtes dans quelle prison ? », lui a demandé le juge.
« Je suis gardé dans les anciennes écuries d’après ce qu’on m’a dit », a-t-il expliqué avant d’être recadré par le magistrat.
« Ici, les prisons c’est comme ça. Elles ne sont pas des hôtels. Il faut comprendre que vous n’êtes pas à l’hôtel», lui a fait savoir le juge qui lui reconnaît son droit d’être assisté par n’importe quel avocat.
Cependant, le mis en cause n’a pas laissé de répit au juge comme s’il cherchait à se donner une qualité.
« Pouvez-vous joindre mes avocats au niveau international pour qu’ils puissent m’assister», a-t-il demandé. Le juge qui l’a invité à la retenue l’a orienté vers les autorités pénitentiaires.
« Pour cela, il faut vous adresser aux autorités de la prison. Ici, nous ne gérons pas cela», lui a conseillé le magistrat.
L’affaire a finalement été renvoyée au 22 février pour constitution d’avocats.
Sèye a cherché tant bien que mal à vouloir se donner de la valeur.
Appelé, ce 15 février à la barre du tribunal correctionnel, il n’a pas reconnu l’avocat sénégalais qui a voulu le défendre. Il a tout bonnement demandé à entrer en contact avec ses avocats.
« Je ne veux pas de lui. Je ne le reconnais pas. Je ne veux pas des avocats d’ici. Je voudrais qu’on me permette de saisir mes avocats internationaux. On m’a retenu et je voudrais une assistance de mes avocats », a soutenu le prévenu. Il ne s’est pas limité à cela. Il s’est aussi plaint des conditions de détention.
« Vous êtes dans quelle prison ? », lui a demandé le juge.
« Je suis gardé dans les anciennes écuries d’après ce qu’on m’a dit », a-t-il expliqué avant d’être recadré par le magistrat.
« Ici, les prisons c’est comme ça. Elles ne sont pas des hôtels. Il faut comprendre que vous n’êtes pas à l’hôtel», lui a fait savoir le juge qui lui reconnaît son droit d’être assisté par n’importe quel avocat.
Cependant, le mis en cause n’a pas laissé de répit au juge comme s’il cherchait à se donner une qualité.
« Pouvez-vous joindre mes avocats au niveau international pour qu’ils puissent m’assister», a-t-il demandé. Le juge qui l’a invité à la retenue l’a orienté vers les autorités pénitentiaires.
« Pour cela, il faut vous adresser aux autorités de la prison. Ici, nous ne gérons pas cela», lui a conseillé le magistrat.
L’affaire a finalement été renvoyée au 22 février pour constitution d’avocats.
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