Trainé à la barre du tribunal correctionnel par son ami, B. Ndiaye est poursuivi pour escroquerie portant sur la rondelette somme de 230.000FCFA. Jugé, ce matin, il dément avant d’incrimer le plaignant de dealer de chanvre indien.
« Il a voulu que je lui achète du chanvre indien ce que j’ai refusé et depuis il cherche à me nuire. Un jour il m’a invité à collaborer dans le business pensant que je chôme. », a déclaré le prévenu devant la barre.
Pour la partie civile, le mis en cause a tout simplement disparu après qu’elle lui a remis de l’argent à garder.
« Il me fréquente mais on n’habite pas ensemble. Je lui ai confié 230.000 FCFA alors que je m’apprêtais à prendre un bain et il a disparu avec la somme. Je ne l’ai plus revu à la sortie des toilettes. Je l’ai appelé au téléphone mais il avait éteint son portable. J’ai tenté de le joindre à maintes reprises mais ça ne passait pas. Il est taximan et moi chauffeur de car rapide. C’est au garage Guédiawaye que j’ai pu le retrouver avant de le conduire à la police. », a indiqué I. Lo.
Il ressort des débats d’audience que la vente de chanvre indien était au centre de leur différend. L’accusé témoigne que le plaignant veut en découdre avec lui c’est la raison pour laquelle il l’accuse d’escroquerie.
« Il m’a filé dans un passé un sachet de chanvre indien mais quand j’ai vu les policiers j’ai déposé le sachet quelque part depuis il cherche à me le faire payer. Il cherchait à me corrompre pour que je m’allie avec lui dans le business ce que je n’ai pas accepté. », a expliqué B. Ndiaye.
Pour la partie adverse, il n’en est rien des déclarations du prévenu mais que ce dernier cherche vaille que vaille à se tirer d’affaire.
Entendue en guise de témoin, N. Ndiaye, petite copine du plaignant, a livré sa version des faits.
« J’ai trouvé les deux (2) assis comptant de l’argent. I. Lo a remis 230.000 FCFA à B. Ndiaye, j’étais témoin. Il y avait aussi un nommé Yoro Tiak Tiak. C’est lorsque I. Lo partait prendre un bain qu’il a remis l’argent au prévenu », a indiqué la jeune fille.
Les deux parties qui n’ont pas été assisté par des avocats se sont ouvertes à la sagesse de la juridiction. Le parquet a quant à lui demandé une application de la loi pénale.
L’affaire a finalement été renvoyée en huitaine par le tribunal qui entend le vidé le 24 avril prochain…
« Il a voulu que je lui achète du chanvre indien ce que j’ai refusé et depuis il cherche à me nuire. Un jour il m’a invité à collaborer dans le business pensant que je chôme. », a déclaré le prévenu devant la barre.
Pour la partie civile, le mis en cause a tout simplement disparu après qu’elle lui a remis de l’argent à garder.
« Il me fréquente mais on n’habite pas ensemble. Je lui ai confié 230.000 FCFA alors que je m’apprêtais à prendre un bain et il a disparu avec la somme. Je ne l’ai plus revu à la sortie des toilettes. Je l’ai appelé au téléphone mais il avait éteint son portable. J’ai tenté de le joindre à maintes reprises mais ça ne passait pas. Il est taximan et moi chauffeur de car rapide. C’est au garage Guédiawaye que j’ai pu le retrouver avant de le conduire à la police. », a indiqué I. Lo.
Il ressort des débats d’audience que la vente de chanvre indien était au centre de leur différend. L’accusé témoigne que le plaignant veut en découdre avec lui c’est la raison pour laquelle il l’accuse d’escroquerie.
« Il m’a filé dans un passé un sachet de chanvre indien mais quand j’ai vu les policiers j’ai déposé le sachet quelque part depuis il cherche à me le faire payer. Il cherchait à me corrompre pour que je m’allie avec lui dans le business ce que je n’ai pas accepté. », a expliqué B. Ndiaye.
Pour la partie adverse, il n’en est rien des déclarations du prévenu mais que ce dernier cherche vaille que vaille à se tirer d’affaire.
Entendue en guise de témoin, N. Ndiaye, petite copine du plaignant, a livré sa version des faits.
« J’ai trouvé les deux (2) assis comptant de l’argent. I. Lo a remis 230.000 FCFA à B. Ndiaye, j’étais témoin. Il y avait aussi un nommé Yoro Tiak Tiak. C’est lorsque I. Lo partait prendre un bain qu’il a remis l’argent au prévenu », a indiqué la jeune fille.
Les deux parties qui n’ont pas été assisté par des avocats se sont ouvertes à la sagesse de la juridiction. Le parquet a quant à lui demandé une application de la loi pénale.
L’affaire a finalement été renvoyée en huitaine par le tribunal qui entend le vidé le 24 avril prochain…
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