Agé de 20 ans, M. Diallo et son ami de même génération, A. Sylla ont été été attraits à la barre du tribunal correctionnel pour répondre du délit d’offre ou cession de drogue. En effet, les prévenus sont reprochés d’avoir cédé 13 grammes hachis trouvés par devers eux.
Devant le juge, les mis en cause ont réfuté les accusations.
« Les policiers nous ont trouvé dans le jardin public à Ngor. Nous étions plusieurs mais le reste du groupe a fui sauf nous deux. Ils ont par la suite procédé à une fouille, mais n’ont rien trouvé sur nous et ils nous ont amené à l’aéroport pour nous bastonner.», a expliqué le jeune M. Diallo.
Il ressort des débats d’audience que 6 coupures de hachis ont été retrouvés par devers le sieur Diallo qui conteste les renseignements du procès verbal d’enquête.
« Je n’avais que mon téléphone et 15 000FCFA », a rectifié le mis en cause.
D’après le procureur, Diallo n’est pas revenu sur ses déclarations contenues dans le procès verbal d’enquête. Selon lui, ses propos ne sont pas en phase avec les déclarations du Pv.
« Les policiers nous ont malmenés c’est pourquoi j’ai dit des contrevérités sur le Pv », a dit M. Diallo.
Pour son compagnon A. Sylla, rien n’a été retrouvé sur eux.
« Les policiers nous ont amenés à l’aéroport pour nous torturer. Ils nous ont demandé des noms de personnes qui soient disant s’activent dans la vente de la drogue», a renseigné A. Sylla.
Dans sa réquisition le procureur a fait savoir que les agents enquêteurs ont arrêté les mis en cause après exploitation d’un renseignement. Il a jugé insensé d’arrêter des personnes qui n’ont rien fait.
Il a appelé le tribunal à requalifier les faits d’offre et cession en détention en vue de l’usage avant de requérir 1 mois ferme pour chacun des prévenus.
La défense pour sa part considère que ses clients ont été arrêtés sans raisons. Pour l’avocat, les agents enquêteurs se sont tout simplement acharnés sur d’innocentes personnes pour leur faire porter des motifs fallacieux. L’avocat a demandé la relaxe en faveur de ses clients.
Statuant publiquement et contradictoirement, le tribunal a relaxé les prévenus au bénéfice du doute.
Devant le juge, les mis en cause ont réfuté les accusations.
« Les policiers nous ont trouvé dans le jardin public à Ngor. Nous étions plusieurs mais le reste du groupe a fui sauf nous deux. Ils ont par la suite procédé à une fouille, mais n’ont rien trouvé sur nous et ils nous ont amené à l’aéroport pour nous bastonner.», a expliqué le jeune M. Diallo.
Il ressort des débats d’audience que 6 coupures de hachis ont été retrouvés par devers le sieur Diallo qui conteste les renseignements du procès verbal d’enquête.
« Je n’avais que mon téléphone et 15 000FCFA », a rectifié le mis en cause.
D’après le procureur, Diallo n’est pas revenu sur ses déclarations contenues dans le procès verbal d’enquête. Selon lui, ses propos ne sont pas en phase avec les déclarations du Pv.
« Les policiers nous ont malmenés c’est pourquoi j’ai dit des contrevérités sur le Pv », a dit M. Diallo.
Pour son compagnon A. Sylla, rien n’a été retrouvé sur eux.
« Les policiers nous ont amenés à l’aéroport pour nous torturer. Ils nous ont demandé des noms de personnes qui soient disant s’activent dans la vente de la drogue», a renseigné A. Sylla.
Dans sa réquisition le procureur a fait savoir que les agents enquêteurs ont arrêté les mis en cause après exploitation d’un renseignement. Il a jugé insensé d’arrêter des personnes qui n’ont rien fait.
Il a appelé le tribunal à requalifier les faits d’offre et cession en détention en vue de l’usage avant de requérir 1 mois ferme pour chacun des prévenus.
La défense pour sa part considère que ses clients ont été arrêtés sans raisons. Pour l’avocat, les agents enquêteurs se sont tout simplement acharnés sur d’innocentes personnes pour leur faire porter des motifs fallacieux. L’avocat a demandé la relaxe en faveur de ses clients.
Statuant publiquement et contradictoirement, le tribunal a relaxé les prévenus au bénéfice du doute.
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