L’attaque du cortège du président de la République sortant à Nguéniène pourrait ne pas rester impunie. Le ministre de l’Intérieur, Ousmane Ngom, a, lors d’une conférence de presse tenue ce jeudi 16 février à son ministère, estimé que c’était un «guet-apens». Il a annoncé qu’une enquête est ouverte et que la lumière sera faite.
«Il s’agit d’un guet-apens. L’attaque a été une action planifiée, préméditée», a déclaré Me Ousmane Ngom.
Contrairement à ce que le leader du PDS a dit, le ministre de l’Intérieur a révélé que «la personne qui a été atteinte à la figure a perdu l’œil. Ce qui est quand même regrettable».
Et de souligner : «je pense que l’enquête fera la lumière de tout ce qui s’est passé». Dans la foulée, il a soutenu: «Mais, il faut que les leaders politiques en reviennent à plus de sérénité. Encore une fois, la violence appelle la violence».
Et le ministre de l’Intérieur de marteler: «Nous avons constaté que c’était délibéré et organisé. Tout le monde sait que Nguéniène n’est pas neutre, c’est le village, le fief d’un candidat. Et il fallait justement essayer de se venger par rapport à ce qui s’est passé (faisant allusion à l’attaque du cortège de Tanor à Reubeuss) alors qu’il n’est pas établi qu’ici à Dakar ce qui s’est passé a été le fait de militants libéraux». Selon lui, «cela peut être des populations agacées, des populations qui ne sont pas avec ce candidat. Toutes les populations ne sont pas forcément dans les partis politiques. Elles peuvent être ou avoir de la sympathie pour un tel ou tel autre candidat».
«Il s’agit d’un guet-apens. L’attaque a été une action planifiée, préméditée», a déclaré Me Ousmane Ngom.
Contrairement à ce que le leader du PDS a dit, le ministre de l’Intérieur a révélé que «la personne qui a été atteinte à la figure a perdu l’œil. Ce qui est quand même regrettable».
Et de souligner : «je pense que l’enquête fera la lumière de tout ce qui s’est passé». Dans la foulée, il a soutenu: «Mais, il faut que les leaders politiques en reviennent à plus de sérénité. Encore une fois, la violence appelle la violence».
Et le ministre de l’Intérieur de marteler: «Nous avons constaté que c’était délibéré et organisé. Tout le monde sait que Nguéniène n’est pas neutre, c’est le village, le fief d’un candidat. Et il fallait justement essayer de se venger par rapport à ce qui s’est passé (faisant allusion à l’attaque du cortège de Tanor à Reubeuss) alors qu’il n’est pas établi qu’ici à Dakar ce qui s’est passé a été le fait de militants libéraux». Selon lui, «cela peut être des populations agacées, des populations qui ne sont pas avec ce candidat. Toutes les populations ne sont pas forcément dans les partis politiques. Elles peuvent être ou avoir de la sympathie pour un tel ou tel autre candidat».
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