Le ministre du commerce Alioune Sarr a rencontré aujourd’hui les acteurs agricoles afin de trouver avec eux un terrain d’entente sur le problème que rencontrent les producteurs. Pour lui, cette rencontre de commercialisation mise en place permet de voir dans quelle mesure des jalons supplémentaires peuvent-être posés, et engager tous les acteurs à œuvrer pour le maintien et la consolidation du dispositif de commercialisation de l’oignon local.
« L’oignon occupe le premier rang parmi les cultures maraîchères, avec des superficies emblavées de plus de 5 000 hectares.
Pour rappel, la production d’oignon est passée de 40 000 tonnes en 2004 à une production estimée à 367 000 tonnes en 2016 et un chiffre d’affaires qui tourne autour de 35 milliards de F CFA. Ces résultats sont le fruit des initiatives combinées du gouvernement qui a mis à la disposition des producteurs des semences et de l’engrais subventionnés d’une part et, par les acteurs d’autre part, dans le cadre de la mise en place de l'oignon et de l’agence de Régulation des Marchés (ARM) pour la régulation des importations d’oignon », déclare le ministre Alioune Sarr. Toutefois, ajoute-t-il, force est de constater les persistances de quelques difficultés de commercialisation, notamment en début de campagne. C’est dans ce contexte que le ministre du commerce déclare : « à la fin, j’invite chaque acteur impliqué, notamment les producteurs, les importateurs, les distributeurs et les banques, à jouer pleinement son rôle pour réussir ensemble le pari de la commercialisation de l’oignon local qui passera nécessairement par le développement de la contractualisation en impliquant forcément les commerçants, une bonne information sur le calendrier cultural, les dates d’arrivée des récoltes dans le temps, par Zone ainsi que les volumes attendus. A cela s’ajoute le renforcement du financement de la commercialisation de l’oignon indispensable pour l’accompagnement des producteurs dans les activités et enfin l’amélioration des conditions de commercialisation notamment l’ensachage de l’oignon dans des formats de 25 kg, le calibrage, le conditionnement et l’étiquetage ».
« L’oignon occupe le premier rang parmi les cultures maraîchères, avec des superficies emblavées de plus de 5 000 hectares.
Pour rappel, la production d’oignon est passée de 40 000 tonnes en 2004 à une production estimée à 367 000 tonnes en 2016 et un chiffre d’affaires qui tourne autour de 35 milliards de F CFA. Ces résultats sont le fruit des initiatives combinées du gouvernement qui a mis à la disposition des producteurs des semences et de l’engrais subventionnés d’une part et, par les acteurs d’autre part, dans le cadre de la mise en place de l'oignon et de l’agence de Régulation des Marchés (ARM) pour la régulation des importations d’oignon », déclare le ministre Alioune Sarr. Toutefois, ajoute-t-il, force est de constater les persistances de quelques difficultés de commercialisation, notamment en début de campagne. C’est dans ce contexte que le ministre du commerce déclare : « à la fin, j’invite chaque acteur impliqué, notamment les producteurs, les importateurs, les distributeurs et les banques, à jouer pleinement son rôle pour réussir ensemble le pari de la commercialisation de l’oignon local qui passera nécessairement par le développement de la contractualisation en impliquant forcément les commerçants, une bonne information sur le calendrier cultural, les dates d’arrivée des récoltes dans le temps, par Zone ainsi que les volumes attendus. A cela s’ajoute le renforcement du financement de la commercialisation de l’oignon indispensable pour l’accompagnement des producteurs dans les activités et enfin l’amélioration des conditions de commercialisation notamment l’ensachage de l’oignon dans des formats de 25 kg, le calibrage, le conditionnement et l’étiquetage ».
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