Depuis mercredi nuit, la capitale vit dans une atmosphère poussérieuse qui précarise davantage la santé des personnes traînant des problèmes respiratoires.
Il faut donc bien se protéger, surtout si on est une personne vulnérable avec ce climat lourd qui règne dans la capitale depuis mercredi. Le port du masque doit être strict, dans ce contexte sanitaire où l'on vit.
La situation ne devrait s'améliorer et revenir à la normale qu'à partie du week-end prochain, d'après André Dioh du centre de gestion de la qualité de l'air (CGQA), informe Vox Populi.
"Nous avons enregistré, à partir du 15 février, une hausse des concentrations de particules qui étaient due à l'apport en poussière désertique. Cette situation va durer quelques jours. Mais il y aura une amelioration progressive entre le 20 et le 21 février" a expliqué André Dioh.
En effet, ceux qui souffrent d'affections respiratoires, comme les asthmatiques et ceux qui souffrent d'allergies sont exposés à des risques de difficultés respiratoires. Cette pollution d'origine anthologique est surtout aggravée par la présence de particules en provenance du désert, avec une concentration de particules PM10 et PM2,5 très èlevée dans l'air ambiant, renseigne la même source...
Il faut donc bien se protéger, surtout si on est une personne vulnérable avec ce climat lourd qui règne dans la capitale depuis mercredi. Le port du masque doit être strict, dans ce contexte sanitaire où l'on vit.
La situation ne devrait s'améliorer et revenir à la normale qu'à partie du week-end prochain, d'après André Dioh du centre de gestion de la qualité de l'air (CGQA), informe Vox Populi.
"Nous avons enregistré, à partir du 15 février, une hausse des concentrations de particules qui étaient due à l'apport en poussière désertique. Cette situation va durer quelques jours. Mais il y aura une amelioration progressive entre le 20 et le 21 février" a expliqué André Dioh.
En effet, ceux qui souffrent d'affections respiratoires, comme les asthmatiques et ceux qui souffrent d'allergies sont exposés à des risques de difficultés respiratoires. Cette pollution d'origine anthologique est surtout aggravée par la présence de particules en provenance du désert, avec une concentration de particules PM10 et PM2,5 très èlevée dans l'air ambiant, renseigne la même source...
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