Le débat sur le troisième mandat du Président Macky Sall est revenu dans l’entretien qu’il a accordé à nos confrères de RFI.
Si en 2020, le Chef de l’Etat n’avait dit « ni oui ni non » à sa candidature pour 2024, cette fois aussi il a renvoyé sa réponse à cette question aux calendes grecques. « Ce débat je le traiterais en temps voulu et les sénégalais seront édifiés, ce qui est sûr c’est que je ne poserai jamais un acte qui soit antidémocratique ou anticonstitutionnel, parce que je suis profondément démocratie. Maintient je parlerai quand ce sera le moment » a-t-il répondu d’bord sur cette question.
Il a précisé par la suite qu’il y a deux ans avoir dit aux journalistes sénégalais qu’il ne veut répondre parce que « si je dis que je suis candidat on ne vas plus travailler le débat va enfler, il y aura de la matière pour les que les spécialistes de la manipulation de l’agitation, si je dis non dans mon propre camp aussi on ne travaillera plus ».
Le Président Sall de finir sur cette question en indiquant « avoir un mandat à exercer et travaillé pour le Sénégal, « je ne peux pas à trois de l’échéance satisfaire la curiosité de ceux qui n’ont ce de centre d’intérêt que l’élection » conclura t’il.
Si en 2020, le Chef de l’Etat n’avait dit « ni oui ni non » à sa candidature pour 2024, cette fois aussi il a renvoyé sa réponse à cette question aux calendes grecques. « Ce débat je le traiterais en temps voulu et les sénégalais seront édifiés, ce qui est sûr c’est que je ne poserai jamais un acte qui soit antidémocratique ou anticonstitutionnel, parce que je suis profondément démocratie. Maintient je parlerai quand ce sera le moment » a-t-il répondu d’bord sur cette question.
Il a précisé par la suite qu’il y a deux ans avoir dit aux journalistes sénégalais qu’il ne veut répondre parce que « si je dis que je suis candidat on ne vas plus travailler le débat va enfler, il y aura de la matière pour les que les spécialistes de la manipulation de l’agitation, si je dis non dans mon propre camp aussi on ne travaillera plus ».
Le Président Sall de finir sur cette question en indiquant « avoir un mandat à exercer et travaillé pour le Sénégal, « je ne peux pas à trois de l’échéance satisfaire la curiosité de ceux qui n’ont ce de centre d’intérêt que l’élection » conclura t’il.
Autres articles
-
Ibrahima Bakhoum, Avocat Général : « Magistrats, experts, avocats, huissiers..., on est tous tenu au respect strict de la loi parce que la notion d'irresponsabilité n'existe pas! »
-
Série d’agressions et de meurtres / Le ministre de l’intérieur d’un ton ferme : « Je me veux très clair, aucun répit ne sera laissé aux malfaiteurs… »
-
Judiciarisation du débat public : les activistes de « Y'en marre » dénoncent la justice à deux vitesses et demandent la libération immédiate des détenus.
-
Insécurité à Dakar : « y’en a marre » pointe du doigt Antoine Félix Diome et demande son limogeage.
-
Défaillances des listes sur la parité et le parrainage : Y’en A Marre ne veut pas se prononcer à la place de l’autorité compétente.