La famille de Mamadou Lamine Diédhiou, ce videur sénégalais tué ce week-end, invite tous ceux qui le souhaitent à une marche pacifique, samedi à Besançon (France). Ses agresseurs, eux, sont en fuite.
Dans la nuit de samedi à dimanche, le videur de la discothèque Le Styl à Besançon, est décédé sous les coups d’un groupe d’individus déterminés à en découdre. Selon les premiers éléments, l’origine de « ce déchaînement de violence », tel que le décrivent des témoins, est tristement banale : un client qui se voit refuser l’entrée... La suite virera à l’insensé.
« On ne peut pas perdre la vie comme ça, juste parce qu’on exerce son métier », déplore Jacky, le patron du Styl, « c’est impossible, c’est inadmissible. Ce n’est pas une bagarre qui a dégénéré, c’est carrément un meurtre. Le client a appelé des gens, qui sont arrivés armés... »
L’ensemble de la scène a été filmé par une caméra fixée au-dessus de la porte de l’établissement. L’enquête en flagrance de la Sûreté départementale suit son cours, et pourrait aboutir - la famille de la victime l’espère - à de rapides interpellations.
Pour l’heure, l’auteur présumé des coups de couteau, ainsi que ses acolytes agresseurs, sont toujours en fuite. « On reste digne et on laisse la justice faire son travail ».
À Besançon, l’émotion suscitée par la mort de Mamadou est forte. La famille vient d’obtenir l’autorisation de la préfecture pour l’organisation, samedi en début d’après-midi, d’une marche blanche.
Dans la nuit de samedi à dimanche, le videur de la discothèque Le Styl à Besançon, est décédé sous les coups d’un groupe d’individus déterminés à en découdre. Selon les premiers éléments, l’origine de « ce déchaînement de violence », tel que le décrivent des témoins, est tristement banale : un client qui se voit refuser l’entrée... La suite virera à l’insensé.
« On ne peut pas perdre la vie comme ça, juste parce qu’on exerce son métier », déplore Jacky, le patron du Styl, « c’est impossible, c’est inadmissible. Ce n’est pas une bagarre qui a dégénéré, c’est carrément un meurtre. Le client a appelé des gens, qui sont arrivés armés... »
L’ensemble de la scène a été filmé par une caméra fixée au-dessus de la porte de l’établissement. L’enquête en flagrance de la Sûreté départementale suit son cours, et pourrait aboutir - la famille de la victime l’espère - à de rapides interpellations.
Pour l’heure, l’auteur présumé des coups de couteau, ainsi que ses acolytes agresseurs, sont toujours en fuite. « On reste digne et on laisse la justice faire son travail ».
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