Les populations de la commune de Mampatim viennent d’être formées aux pratiques agro-écologiques pour faire face aux changements climatiques. Et cette formation des communautés est à l’épreuve des réalités du réchauffement climatique dû à la coupe abusive de bois, aux émissions de gaz à effets de serre entrainant une rareté des pluies entre autres. C’est fort de ces constats que la mairie de la commune et le Forum Civil ont conjugué leurs efforts pour sensibiliser et former les communautés sur la question pour une agriculture résiliente.
C’est ainsi que les villages de Diankancounda Maoundé et de Vélingara Nafa ont été mis dans le bain dans le cadre du projet « contribuer à l'amélioration du droit à l'alimentation des populations. » C’est dans ce cadre qu’ils ont été initiés à la fabrication de composte bio et durable favorisant une alimentation saine.
Mais aussi, cette technique bio va enrichir les sols, tout le contraire des engrais chimiques participant à dégrader les sols et l’environnement. Aujourd’hui, personne n’est épargné par les changements climatiques aussi bien dans les zones urbaines que péri urbaines. En posant cet acte dans le monde rural avec un matériel bio, c’est éviter un suicide collectif communautaire à l’heure où le marché connait toutes les spéculations de produits phytosanitaires nocifs souvent pour la santé humaine.
Mais aussi, cette technique bio va enrichir les sols, tout le contraire des engrais chimiques participant à dégrader les sols et l’environnement. Aujourd’hui, personne n’est épargné par les changements climatiques aussi bien dans les zones urbaines que péri urbaines. En posant cet acte dans le monde rural avec un matériel bio, c’est éviter un suicide collectif communautaire à l’heure où le marché connait toutes les spéculations de produits phytosanitaires nocifs souvent pour la santé humaine.
Dans cette dynamique, ces villages sont des zones agrosylvopastorales par excellence. C’est pourquoi, il est important d’instaurer cet esprit Eco citoyen pour préserver aussi le cheptel tributaire directement de l’agriculture.
Pour Ousmane B., bénéficiaire, « nous accueillons cette formation avec beaucoup d’intérêt car il faut agir vite pour sauver l’environnement. D’ailleurs, respecter les normes environnementales, c’est préserver la vie de l’homme et de l’écosystème. Dorénavant, nous savons à quoi nous en tenir pour une agriculture bio sans pesticides et saine… »
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