La présidente du mouvement pour l’indépendance, le mérite et l’intégrité (MIMI), lors d’une déclaration devant la presse ce lundi, a appelé le nouveau régime à porter le projet de loi visant à abroger la loi sur l’amnistie votée par la précédente législature. « Cette loi d’amnistie qui est injustifiée doit être abrogée pour que justice soit enfin rendue. Il faut savoir que c’est une exigence du droit pénal international.
La chaîne de responsabilité doit être suivie à la lettre. En tant que militante des droits humains, c’est ma position » a déclaré le haut représentant du président de la République Aminata Touré qui, par ailleurs, félicite le président Bassirou Diomaye Faye pour cette œuvre qu’elle qualifie de « salubrité publique ». À en croire Aminata Touré, l’assemblée nationale était un lieu de déshonneur. « Nous n’avons jamais eu une assemblée comme celle qui vient d’être dissoute. Il faut se féliciter de cette initiative du chef de l’État.
Mais le président Macky Sall a préféré mettre dans cette assemblée des « insulteurs ». Personnellement, j’ai toujours défendu cette position qui consiste à ne pas inviter le premier ministre à venir devant cette assemblée pour présenter sa déclaration de politique générale (DPG) qui risquerait de se tenir devant une assemblée impopulaire », a t-elle ajouté regrettant que la 14e législature « qui a toujours violé la loi et le règlement intérieur ». « Elle ne méritait pas que le premier ministre fasse devant elle sa déclaration de politique générale », conclut l’ancien parlementaire de la 14e législature.
La chaîne de responsabilité doit être suivie à la lettre. En tant que militante des droits humains, c’est ma position » a déclaré le haut représentant du président de la République Aminata Touré qui, par ailleurs, félicite le président Bassirou Diomaye Faye pour cette œuvre qu’elle qualifie de « salubrité publique ». À en croire Aminata Touré, l’assemblée nationale était un lieu de déshonneur. « Nous n’avons jamais eu une assemblée comme celle qui vient d’être dissoute. Il faut se féliciter de cette initiative du chef de l’État.
Mais le président Macky Sall a préféré mettre dans cette assemblée des « insulteurs ». Personnellement, j’ai toujours défendu cette position qui consiste à ne pas inviter le premier ministre à venir devant cette assemblée pour présenter sa déclaration de politique générale (DPG) qui risquerait de se tenir devant une assemblée impopulaire », a t-elle ajouté regrettant que la 14e législature « qui a toujours violé la loi et le règlement intérieur ». « Elle ne méritait pas que le premier ministre fasse devant elle sa déclaration de politique générale », conclut l’ancien parlementaire de la 14e législature.
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