L'ÉPOUSE D'OMAR SY SE CONFIE "NOUS SOMMES HEUREUX À LOS ANGELES"

Depuis «Intouchables», Omar Sy est devenu une star internationale. Le monde entier, tout comme Hollywood, courtise le jeune homme de 37 ans récemment vu dans «X-Men : Days of Future Past» et «Jurassic World», devenu le 3e plus gros succès de l’histoire du cinéma avec plus de 1,6 milliard de dollars de recettes.  A côté son épouse, Hélène, n’a jamais cherché la lumière, préférant se consacrer à son association «CéKeDuBonheur», fondée en 2005, qui tente de rendre la vie plus joyeuse aux enfants hospitalisés. C’est le succès de celle-ci qui l’a poussée à parler pour la première fois dans les colonnes du magazine «Elle». «Maintenant que l’association a grandi, je sens qu’il est temps que je m’exprime sur nos actions», confie-t-elle. Avant d’ajouter : «Jusqu’ici, j’ai toujours eu peur d’être exposée pour de mauvaises raisons. Je craignais que, si je m’exprimais, cela fasse de l’ombre à l’action des bénévoles sur le terrain».

Mais ce n’est pas tout. Hélène Sy a joué au jeu des confidences. Elle a raconté comment elle a rencontré, un peu par hasard, son mari Omar.
 

PAS DE RETOUR EN FRANCE ENVISAGEABLE

La jeune femme ne souhaitait pas s’étendre sur le sujet. Les confidences trop personnelles, très peu pour elle. Mais elle a tout de même confié sa rencontre au magazine. «On s’est rencontrés par l’intermédiaire d’une amie artiste qui vivait chez moi, dans un appartement des Buttes-Chaumont. Omar et elle étaient copains de lycée et elle lui avait proposé de venir tourner dans un clip de son groupe. Ils avaient rendez-vous, mais elle n’était pas là, c’est donc moi qui l’ai accueilli», raconte-t-elle.

Et depuis, le couple ne s’est plus quitté. Ils ont décidé de partir direction Los Angeles, pour soutenir la carrière d’Omar. «C’était tellement fulgurant (l’ascension d’Omar, ndlr), tout devenait si facile, on prenait le risque de devenir des enfants gâtés. Omar n’a jamais perdu pied, il est resté très humble.(…) On s’est dit qu’il fallait prendre de la distance, trouver un endroit où l’on se sente plus libres», se souvient Hélène.

Parismatch