« Il est temps de prioriser la santé mentale au travail ». C’est le thème de la 32ème édition de la célébration de la Journée mondiale de la santé mentale qui s’est tenue à Kaolack. Le ministre de la santé et de l’action sociale, Ibrahima Sy, qui a présidé cet événement, est revenu sur l’importance de cette journée qui vise à sensibiliser les populations sur l’ampleur des conséquences.
S’agissant du thème de cette 32ème édition, Ibrahima Sy souligne que « la création d’un environnement de travail sain et sûr permettent de préserver la santé ». Non sans déplorer « la stigmatisation, la discrimination, l’exposition à des risques comme le harcèlement et d’autres mauvaises conditions de travail qui peuvent significativement compromettre la santé mentale, la qualité de vie globale et par conséquent la participation et la productivité au travail ». Ainsi, le ministère de la santé et de l’action sociale prévoit en plus de la sensibilisation, de travailler avec les établissements de santé pour le renforcement des capacités des professionnels de santé et des intervenants communautaires pour leur permettre de reconnaître aisément les symptômes et de détecter les signes d’alerte des troubles mentaux au cours de leur exercice de fonction. Un objectif, selon Ibrahima Sy, qui « nécessite l’implication de toutes les franges de la société pour l’amélioration de la santé mentale en milieu professionnel pour un avenir plus sain ». Cependant, il a aussi porté un plaidoyer auprès du patronat Sénégalais pour la promotion et la vulgarisation des déterminants de la santé mentale des employés et usagers en milieu du travail.
S’agissant du thème de cette 32ème édition, Ibrahima Sy souligne que « la création d’un environnement de travail sain et sûr permettent de préserver la santé ». Non sans déplorer « la stigmatisation, la discrimination, l’exposition à des risques comme le harcèlement et d’autres mauvaises conditions de travail qui peuvent significativement compromettre la santé mentale, la qualité de vie globale et par conséquent la participation et la productivité au travail ». Ainsi, le ministère de la santé et de l’action sociale prévoit en plus de la sensibilisation, de travailler avec les établissements de santé pour le renforcement des capacités des professionnels de santé et des intervenants communautaires pour leur permettre de reconnaître aisément les symptômes et de détecter les signes d’alerte des troubles mentaux au cours de leur exercice de fonction. Un objectif, selon Ibrahima Sy, qui « nécessite l’implication de toutes les franges de la société pour l’amélioration de la santé mentale en milieu professionnel pour un avenir plus sain ». Cependant, il a aussi porté un plaidoyer auprès du patronat Sénégalais pour la promotion et la vulgarisation des déterminants de la santé mentale des employés et usagers en milieu du travail.
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