Longtemps annoncé et décrié par l'opposition et la coordination internationale, les auteurs des tueries post-électorales enregistrées en Guinée seront traqués et punis. Le Procureur général de Conakry a fait le premier point depuis la mise en branle de la justice.
Ainsi, lors de son point de presse aux allures de compte rendu, Mamady Diawara convoquant à la Cour d'appel de Conakry informe qu'au moins 325 personnes ont été interpellés dans différentes affaires :
Cas de meurtre. Il y a eu 20 corps déposés à la médecine légale de l'hôpital national Ignace Deen pour les besoin de l'autopsie. "Une information judiciaire est déjà ouverte au niveau des tribunaux de première instance de Kaloum, de Dixinn et de Mafanco. Il est demandé le témoignage de toutes les personnes pouvant permettre à la justice de réunir tous les éléments susceptibles de faire entreprendre des sanctions à l’égard des auteurs, coauteurs et complices des infractions commise» informe le Procureur.
Cas d’incendies volontaires, de destructions d’édifices privés et publics, de coups et blessures volontaires, de détention illégale d’armes légères (calibres 12) et d’armes blanches. Des faits enregistrés à Ratoma, Dixinn, Matoto et dans les préfectures des régions administratives de Mamou et de Labé...
Cas pour flagrants délits, des dispositions sont prises pour que les audiences se tiennent dès la semaine prochaine. Le procureur a regroupé les cas d’appels à la violence et aux affrontements interethniques.
Selon le Procureur, les personnes interpellées ont été présentées à un juge, en la présence constante de leurs avocats, avant d’être placées en détention provisoire à la Maison centrale de Conakry.
Ainsi, lors de son point de presse aux allures de compte rendu, Mamady Diawara convoquant à la Cour d'appel de Conakry informe qu'au moins 325 personnes ont été interpellés dans différentes affaires :
Cas de meurtre. Il y a eu 20 corps déposés à la médecine légale de l'hôpital national Ignace Deen pour les besoin de l'autopsie. "Une information judiciaire est déjà ouverte au niveau des tribunaux de première instance de Kaloum, de Dixinn et de Mafanco. Il est demandé le témoignage de toutes les personnes pouvant permettre à la justice de réunir tous les éléments susceptibles de faire entreprendre des sanctions à l’égard des auteurs, coauteurs et complices des infractions commise» informe le Procureur.
Cas d’incendies volontaires, de destructions d’édifices privés et publics, de coups et blessures volontaires, de détention illégale d’armes légères (calibres 12) et d’armes blanches. Des faits enregistrés à Ratoma, Dixinn, Matoto et dans les préfectures des régions administratives de Mamou et de Labé...
Cas pour flagrants délits, des dispositions sont prises pour que les audiences se tiennent dès la semaine prochaine. Le procureur a regroupé les cas d’appels à la violence et aux affrontements interethniques.
Selon le Procureur, les personnes interpellées ont été présentées à un juge, en la présence constante de leurs avocats, avant d’être placées en détention provisoire à la Maison centrale de Conakry.
Autres articles
-
Les Etats-Unis pourraient refuser un visa pour cause d'obésité
-
Gaza : le CICR a reçu la dépouille d'un des quatre derniers otages, selon l'armée israélienne
-
Soudan : attaques de drones sur une ville du nord, combats au Kordofan
-
Mali : libération d'un opposant emprisonné pour « offense » au chef de la junte burkinabè
-
Non-respect des accords signés en 2022 : Le G7 décrète un débrayage et une grève totale pour le 18 et 19 novembre 2025




