En prélude de l'élection présidentielle du 24 Mars, la Cosydep, à travers une note, a étalé ses préoccupations aux candidats à l'élection présidentielle, à l'administration, aux électeurs entre autres parties prenantes pour réussir le pari d’une École sénégalaise de qualité, inclusive, résiliente, moderne et performante. Selon la note, l’élection est appréhendée comme un moment décisif de célébration de la démocratie, une opportunité pour échanger avec les candidats autour des grands défis systémiques et recueillir leurs engagements dans le secteur de l'éducation.
Avec une population majoritairement jeune, poursuit le communiqué, il est urgent de créer les conditions de partage d’offres pertinentes autour des problématiques qui intéressent la cible jeune, de manière à recréer et à entretenir l’espoir.
Aussi, pour ce faire, la Cosydep mise sur le triptyque « Programmes des candidats – Dispositif d’apprentissage – Capital humain ». D'où la rédaction de ces grandes lignes pour intensifier son intervention.
- Le renforcement de l’accompagnement des primo votants à travers le programme ‘‘Education Civique et Electorale–Lycée Modèle de la Citoyenneté et du Civisme’’ (ECE LM2C) ;
- L’organisation d’une session dénommée « Education Face aux Candidats » le jeudi 21 mars. Ce moment d’échanges entre les candidats et la communauté éducative réunira syndicats, Ong, PTF, APE, presse, organisations de jeunes autour des ambitions des candidats pour l’éducation ;
- La mise en place d’un Observatoire de l’élection sous le prisme de l’Éducation. Cet instrument portera une attention particulière sur les programmes et messages des candidats, ainsi que la place et le rôle des élèves primo-votants dans les opérations électorales. Des réunions journalières seront tenues avec les 14 antennes régionales de la COSYDEP en vue d’apprécier différents contenus et angles d’analyse.
Aussi, diront-ils, compte tenu de la complexité des enjeux, la COSYDEP invite vivement, chaque acteur, à contribuer à la tenue d’une
élection transparente qui devra être marquée par une participation effective des citoyennes et citoyens, gage de légitimité du Président élu. À quelques jours de la fin de la campagne électorale, la Coalition demande :
- Aux électeurs, particulièrement les primo votants, de retirer leurs cartes en vue d’accomplir correctement leur devoir civique le 24 mars ;
- Au Conseil constitutionnel de veiller sur la crédibilité et la transparence du processus électoral ;
- À l’administration de rester à équidistance des chapelles politiques ;
- Aux candidats de décliner clairement leurs ambitions pour l’éducation et de s’engager à un respect strict des délibérations ;
- Aux leaders d’opinion et acteurs politiques de lancer des messages publics pour une union sacrée en faveur d’une élection apaisée.
Par ailleurs, compte tenu de l’importance stratégique de l’éducation et de la formation dans la formulation de toute stratégie de développement viable, la COSYDEP est convaincue de l’impératif pour les candidats d’adresser des problématiques essentielles telles que :
- La mise en œuvre des programmes, réformes et innovations nécessaires ;
- La refondation de l’Ecole et de l’Université sénégalaise ;
- Les conditions d’une meilleure résilience et d’une mise aux normes du système d’éducation et de formation en adéquation avec les besoins et ambitions ;
- La dépolitisation de l’administration publique tant dans les procédures de nomination que de gestion ;
- La revalorisation de l’offre publique face à la problématique de la marchandisation de l’éducation.
Avec une population majoritairement jeune, poursuit le communiqué, il est urgent de créer les conditions de partage d’offres pertinentes autour des problématiques qui intéressent la cible jeune, de manière à recréer et à entretenir l’espoir.
Aussi, pour ce faire, la Cosydep mise sur le triptyque « Programmes des candidats – Dispositif d’apprentissage – Capital humain ». D'où la rédaction de ces grandes lignes pour intensifier son intervention.
- Le renforcement de l’accompagnement des primo votants à travers le programme ‘‘Education Civique et Electorale–Lycée Modèle de la Citoyenneté et du Civisme’’ (ECE LM2C) ;
- L’organisation d’une session dénommée « Education Face aux Candidats » le jeudi 21 mars. Ce moment d’échanges entre les candidats et la communauté éducative réunira syndicats, Ong, PTF, APE, presse, organisations de jeunes autour des ambitions des candidats pour l’éducation ;
- La mise en place d’un Observatoire de l’élection sous le prisme de l’Éducation. Cet instrument portera une attention particulière sur les programmes et messages des candidats, ainsi que la place et le rôle des élèves primo-votants dans les opérations électorales. Des réunions journalières seront tenues avec les 14 antennes régionales de la COSYDEP en vue d’apprécier différents contenus et angles d’analyse.
Aussi, diront-ils, compte tenu de la complexité des enjeux, la COSYDEP invite vivement, chaque acteur, à contribuer à la tenue d’une
élection transparente qui devra être marquée par une participation effective des citoyennes et citoyens, gage de légitimité du Président élu. À quelques jours de la fin de la campagne électorale, la Coalition demande :
- Aux électeurs, particulièrement les primo votants, de retirer leurs cartes en vue d’accomplir correctement leur devoir civique le 24 mars ;
- Au Conseil constitutionnel de veiller sur la crédibilité et la transparence du processus électoral ;
- À l’administration de rester à équidistance des chapelles politiques ;

- Aux candidats de décliner clairement leurs ambitions pour l’éducation et de s’engager à un respect strict des délibérations ;
- Aux leaders d’opinion et acteurs politiques de lancer des messages publics pour une union sacrée en faveur d’une élection apaisée.
Par ailleurs, compte tenu de l’importance stratégique de l’éducation et de la formation dans la formulation de toute stratégie de développement viable, la COSYDEP est convaincue de l’impératif pour les candidats d’adresser des problématiques essentielles telles que :
- La mise en œuvre des programmes, réformes et innovations nécessaires ;
- La refondation de l’Ecole et de l’Université sénégalaise ;
- Les conditions d’une meilleure résilience et d’une mise aux normes du système d’éducation et de formation en adéquation avec les besoins et ambitions ;
- La dépolitisation de l’administration publique tant dans les procédures de nomination que de gestion ;
- La revalorisation de l’offre publique face à la problématique de la marchandisation de l’éducation.
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