Dans ce document parcouru par la rédaction, il est relevé que le Groupe de la Banque mondiale est dans les disposition de ‘’maintenir et approfondir son appui à l’ambitieux programme de réformes des autorités sénégalaises.
Le Conseil a pris acte de la volonté d’installer une croissance tirée par le secteur privé dans les secteurs de l’énergie et l’économie numérique, et se félicite de l’engagement du cadre de partenariat-pays à accélérer la réduction de la pauvreté et s’atteler aux inégalités, à travers des investissements dans le capital humain, la création d’emplois et la transformation de l’économie’’.
Pour sa part, le directeur des Opérations de la Banque mondiale pour le Sénégal, Nathan Belete, a estimé que ‘’le pays (de la Téranga) aborde la troisième décennie du 21e siècle avec des perspectives extrêmement prometteuses. Cette nouvelle stratégie de partenariat va aider le Sénégal à exploiter tous ses atouts pour surmonter des obstacles persistants et concrétiser les transformations qui lui permettront de parvenir au statut d’économie émergente en 2035’’.
La croissance pourrait franchir la barre des 7 % en 2021
L’économie sénégalaise, selon ladite institution mondiale, progresse au rythme de plus de 6% par an, depuis 2014. Cette trajectoire de croissance, qui en fait l’un des pays d’Afrique subsaharienne les plus performants, témoigne, selon le Conseil des administrateurs du Groupe de la Banque mondiale, d’une amorce de la transformation structurelle sous-tendue par des réformes axées sur l’amélioration du climat de l’investissement, de la gouvernance et des investissements dans les infrastructures, l’énergie et l’agriculture. Les perspectives sont favorables et, à la faveur d’une hausse des investissements et des exportations, le rythme devrait rester alerte en 2020, autour de 6,8 %. Et à condition de maîtriser les fragilités budgétaires et de mettre en œuvre des réformes attractives pour les investisseurs privés, la croissance pourrait franchir la barre des 7 % en 2021’’.
‘’Nous sommes convaincus que le cadre de partenariat tirera pleinement parti de la stratégie d’IFC, qui anticipe un ambitieux programme de réformes en amont pour catalyser une hausse des investissements privés au Sénégal’’, dira, dans ce sens, Aliou Maïga, directeur régional d’Ifc (International Finance Corporation) pour l’Afrique de l’Ouest et centrale.
‘’La Miga (Agence multilatérale de garantie des investissements) va s’employer à susciter des investissements étrangers à travers ses instruments d’assurance du risque politique, y compris dans les secteurs de l’énergie, de l’eau et des transports, tout en exploitant l’engagement de l’Ida et d’Ifc. Elle continuera par ailleurs à étudier les leviers à actionner pour étayer les investissements publics dans ces secteurs, grâce à son instrument de rehaussement du crédit’’, a expliqué pour sa part, Hoda Atia Moustafa, directrice régionale du bureau de la Miga en Afrique, sis à Dakar.
Le Conseil a pris acte de la volonté d’installer une croissance tirée par le secteur privé dans les secteurs de l’énergie et l’économie numérique, et se félicite de l’engagement du cadre de partenariat-pays à accélérer la réduction de la pauvreté et s’atteler aux inégalités, à travers des investissements dans le capital humain, la création d’emplois et la transformation de l’économie’’.
Pour sa part, le directeur des Opérations de la Banque mondiale pour le Sénégal, Nathan Belete, a estimé que ‘’le pays (de la Téranga) aborde la troisième décennie du 21e siècle avec des perspectives extrêmement prometteuses. Cette nouvelle stratégie de partenariat va aider le Sénégal à exploiter tous ses atouts pour surmonter des obstacles persistants et concrétiser les transformations qui lui permettront de parvenir au statut d’économie émergente en 2035’’.
La croissance pourrait franchir la barre des 7 % en 2021
L’économie sénégalaise, selon ladite institution mondiale, progresse au rythme de plus de 6% par an, depuis 2014. Cette trajectoire de croissance, qui en fait l’un des pays d’Afrique subsaharienne les plus performants, témoigne, selon le Conseil des administrateurs du Groupe de la Banque mondiale, d’une amorce de la transformation structurelle sous-tendue par des réformes axées sur l’amélioration du climat de l’investissement, de la gouvernance et des investissements dans les infrastructures, l’énergie et l’agriculture. Les perspectives sont favorables et, à la faveur d’une hausse des investissements et des exportations, le rythme devrait rester alerte en 2020, autour de 6,8 %. Et à condition de maîtriser les fragilités budgétaires et de mettre en œuvre des réformes attractives pour les investisseurs privés, la croissance pourrait franchir la barre des 7 % en 2021’’.
‘’Nous sommes convaincus que le cadre de partenariat tirera pleinement parti de la stratégie d’IFC, qui anticipe un ambitieux programme de réformes en amont pour catalyser une hausse des investissements privés au Sénégal’’, dira, dans ce sens, Aliou Maïga, directeur régional d’Ifc (International Finance Corporation) pour l’Afrique de l’Ouest et centrale.
‘’La Miga (Agence multilatérale de garantie des investissements) va s’employer à susciter des investissements étrangers à travers ses instruments d’assurance du risque politique, y compris dans les secteurs de l’énergie, de l’eau et des transports, tout en exploitant l’engagement de l’Ida et d’Ifc. Elle continuera par ailleurs à étudier les leviers à actionner pour étayer les investissements publics dans ces secteurs, grâce à son instrument de rehaussement du crédit’’, a expliqué pour sa part, Hoda Atia Moustafa, directrice régionale du bureau de la Miga en Afrique, sis à Dakar.
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