Lors des débats à l’Assemblée nationale sur le projet de loi n°11 visant à dissoudre le Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT) et le Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE), le ministre de la Justice a pris la parole pour justifier cette initiative gouvernementale. Il a mis en avant les avantages de la dissolution de ces institutions, arguant qu’elle permettrait une meilleure allocation des ressources de l’État vers des secteurs plus prioritaires.
Le ministre de la Justice a souligné l’absence d’arguments convaincants en faveur du maintien du HCCT et du CESE. « Je n’ai pas entendu quelqu’un dire ou soutenir qu’en tout état de cause quels sont les avantages à maintenir ces deux institutions », a-t-il déclaré. Selon lui, ces structures, bien que respectables, n’apportent pas de bénéfices suffisants pour justifier leur existence continue, surtout dans un contexte où les ressources qui en découlent pourraient être réorientées vers des secteurs jugés plus indispensables pour le développement du pays.
L'un des points centraux de l'argumentaire du ministre repose sur la nécessité de rediriger les fonds alloués au HCCT et au CESE vers des secteurs plus "porteurs" et "conformes à l'intérêt général". Il a insisté sur le fait que ces institutions, bien qu'importantes, ne contribuent pas de manière optimale à la croissance et au bien-être des Sénégalais, et que leur dissolution offrirait l'opportunité de réaffecter ces ressources de manière plus efficace.
Répondant aux critiques sur la manière dont la dissolution est proposée, le ministre a évoqué le concept d’élégance en politique, qu’il définit comme un « état d’esprit, un comportement et peut-être un port ». Pour lui, l’élégance consiste à présumer que même si l’on ne partage pas la même vision que d’autres, ceux-ci sont néanmoins animés par des intentions positives. Cette approche, selon lui, doit guider les débats parlementaires et permettre une discussion sereine et constructive.
Le ministre de la Justice a souligné l’absence d’arguments convaincants en faveur du maintien du HCCT et du CESE. « Je n’ai pas entendu quelqu’un dire ou soutenir qu’en tout état de cause quels sont les avantages à maintenir ces deux institutions », a-t-il déclaré. Selon lui, ces structures, bien que respectables, n’apportent pas de bénéfices suffisants pour justifier leur existence continue, surtout dans un contexte où les ressources qui en découlent pourraient être réorientées vers des secteurs jugés plus indispensables pour le développement du pays.
L'un des points centraux de l'argumentaire du ministre repose sur la nécessité de rediriger les fonds alloués au HCCT et au CESE vers des secteurs plus "porteurs" et "conformes à l'intérêt général". Il a insisté sur le fait que ces institutions, bien qu'importantes, ne contribuent pas de manière optimale à la croissance et au bien-être des Sénégalais, et que leur dissolution offrirait l'opportunité de réaffecter ces ressources de manière plus efficace.
Répondant aux critiques sur la manière dont la dissolution est proposée, le ministre a évoqué le concept d’élégance en politique, qu’il définit comme un « état d’esprit, un comportement et peut-être un port ». Pour lui, l’élégance consiste à présumer que même si l’on ne partage pas la même vision que d’autres, ceux-ci sont néanmoins animés par des intentions positives. Cette approche, selon lui, doit guider les débats parlementaires et permettre une discussion sereine et constructive.
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