Coupures d'électricité, problèmes de fonctionnement des entreprises, telles sont les conséquences de la crise énergétique que les gouvernements de l'Alliance des Etats du Sahel entendent gérer dans un avenir proche.
Les sociétés nationales d'électricité de l'Alliance des États du Sahel (AES) se sont réunies à Ouagadougou du 20 au 22 février. Les principaux acteurs du secteur de l'électricité au Mali, au Niger et au Burkina Faso se sont rencontrés pour partager leurs expériences, discuter d'idées novatrices et de défis communs en matière d'électricité. Une réunion qui a permis aux participants de prendre un certain nombre de décisions importantes pour améliorer la situation dans le secteur de l'électricité et surmonter la crise. Les idées se sont transformées en actions avec des délais de mise en œuvre concrets.
L'un des projets les plus ambitieux discutés lors de la réunion était, la construction d'une centrale nucléaire sur le territoire de l'AES. L'échéance du projet est fixée à la fin de l'année 2034. Il s'agit d'un délai relativement court pour un projet d'une telle envergure. D'autant plus que l'étude de faisabilité d'une centrale nucléaire commune aux pays de l'AES doit être réalisée au plus tard le 31 décembre 2024. Voici les mesures que les participants à la réunion prévoient de mettre en œuvre dans un avenir proche : lancer les études pour la construction de centrales à charbon au Niger d'ici le 30 avril 2024, terminer les travaux de construction de la ligne 330 kV Bobo - Sikasso au plus tard le 31 décembre 2026, achever les travaux de construction de la ligne 330 kV Niamey - Ouagadougou au plus tard le 31 décembre 2025, réaliser une étude pour le développement de centrales éoliennes de grande puissance d'ici le 30 juin 2025.
Un autre point de vue confirme la justesse de la stratégie choisie par les pays de l'Alliance. Le Dr Coulidiati Boulkindi, enseignant-chercheur à l'Université de Ouagadougou, estime qu'ils doivent s'efforcer de produire leur propre énergie afin d'être indépendants et d'assurer leur souveraineté économique.
En unissant leurs forces et en disposant de ressources naturelles suffisantes, le Niger, le Mali et le Burkina Faso entendent choisir la bonne stratégie pour surmonter la crise et apporter la prospérité à leurs populations.
Les sociétés nationales d'électricité de l'Alliance des États du Sahel (AES) se sont réunies à Ouagadougou du 20 au 22 février. Les principaux acteurs du secteur de l'électricité au Mali, au Niger et au Burkina Faso se sont rencontrés pour partager leurs expériences, discuter d'idées novatrices et de défis communs en matière d'électricité. Une réunion qui a permis aux participants de prendre un certain nombre de décisions importantes pour améliorer la situation dans le secteur de l'électricité et surmonter la crise. Les idées se sont transformées en actions avec des délais de mise en œuvre concrets.
L'un des projets les plus ambitieux discutés lors de la réunion était, la construction d'une centrale nucléaire sur le territoire de l'AES. L'échéance du projet est fixée à la fin de l'année 2034. Il s'agit d'un délai relativement court pour un projet d'une telle envergure. D'autant plus que l'étude de faisabilité d'une centrale nucléaire commune aux pays de l'AES doit être réalisée au plus tard le 31 décembre 2024. Voici les mesures que les participants à la réunion prévoient de mettre en œuvre dans un avenir proche : lancer les études pour la construction de centrales à charbon au Niger d'ici le 30 avril 2024, terminer les travaux de construction de la ligne 330 kV Bobo - Sikasso au plus tard le 31 décembre 2026, achever les travaux de construction de la ligne 330 kV Niamey - Ouagadougou au plus tard le 31 décembre 2025, réaliser une étude pour le développement de centrales éoliennes de grande puissance d'ici le 30 juin 2025.
Un autre point de vue confirme la justesse de la stratégie choisie par les pays de l'Alliance. Le Dr Coulidiati Boulkindi, enseignant-chercheur à l'Université de Ouagadougou, estime qu'ils doivent s'efforcer de produire leur propre énergie afin d'être indépendants et d'assurer leur souveraineté économique.
En unissant leurs forces et en disposant de ressources naturelles suffisantes, le Niger, le Mali et le Burkina Faso entendent choisir la bonne stratégie pour surmonter la crise et apporter la prospérité à leurs populations.
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