Les faits remontent à la nuit du 3 février 2020, lorsque Édouard voyant sans cesse son téléphone sonner, va enfin décider de répondre et à sa grande surprise, c’était la jeune Yaye Maïmouna qui lui demandait de descendre la rejoindre en urgence. Sans hésiter Édouard prit les escaliers pour rejoindre cette dernière, et arrivé en bas, il voit Maïmouna en compagnie d’un ami.
Après lui avoir demandé les raisons de sa présence, Maïmouna lui explique qu’elle n’avait nulle part où dormir et qu’elle voulait qu’il l’héberge jusqu’au lendemain. Édouard conscient des risques, dit n’avoir pas pu accepter de passer la nuit avec Maïmouna qui n’hésita pas à rebrousser chemin.
Pour le juge, cela n’est pas avéré d'après le procès-verbal où il est mentionné qu’Édouard a couché à deux reprises avec Maïmouna. « M le juge je n’ai jamais dit ça et regardez bien, c’est pourquoi j’ai refusé de signer ce procès verbal qui ne sont pas mes paroles », soutient Édouard devant le tribunal.
Bien que la présumée victime n’ait pas assisté à ce procès, sa mère et sa grande sœur ont bien voulu y prendre part. Aussi, devant le juge, elle a joué la compassion : « ce qui a été fait est fait, je demande juste de relâcher le sieur qu’il soit coupable ou pas coupable », déclare la mère de Maïmouna.
Dans son réquisitoire, le procureur demande la présence de la victime, mais malheureusement, sa mère de déclarer : « je ne l’ai pas vue depuis le mois de mai, après ses problèmes, elle est devenue fugueuse et maintenant je ne peux plus la retenir. J’ai d'ailleurs arrêté de la rechercher. Sinon, de temps en temps, elle m’appelle mais avec des numéros différents ».
Pour le procureur les actes barbares d’Édouard ont bouleversé la vie de la jeune Maïmouna, ainsi il demande au tribunal de le condamner à 10 ans de prison.
N’étant pas d’avis avec le procureur, la défense pense que les preuves soulevées ne peuvent pas charger le prévenu. « M le juge est ce que Maïmouna ne pouvait pas voir un gynécologue avant d’accuser mon client, en plus, le procès-verbal n’a pas été signé. Plein de choses prouvent qu’il n’y a pas pénétration, alors comment peut-on le condamner sur la base de simples déclarations? »
Une déclaration qui laisse le juge dans le doute qui a décidé de renvoyer le procès au 19 juillet...
Après lui avoir demandé les raisons de sa présence, Maïmouna lui explique qu’elle n’avait nulle part où dormir et qu’elle voulait qu’il l’héberge jusqu’au lendemain. Édouard conscient des risques, dit n’avoir pas pu accepter de passer la nuit avec Maïmouna qui n’hésita pas à rebrousser chemin.
Pour le juge, cela n’est pas avéré d'après le procès-verbal où il est mentionné qu’Édouard a couché à deux reprises avec Maïmouna. « M le juge je n’ai jamais dit ça et regardez bien, c’est pourquoi j’ai refusé de signer ce procès verbal qui ne sont pas mes paroles », soutient Édouard devant le tribunal.
Bien que la présumée victime n’ait pas assisté à ce procès, sa mère et sa grande sœur ont bien voulu y prendre part. Aussi, devant le juge, elle a joué la compassion : « ce qui a été fait est fait, je demande juste de relâcher le sieur qu’il soit coupable ou pas coupable », déclare la mère de Maïmouna.
Dans son réquisitoire, le procureur demande la présence de la victime, mais malheureusement, sa mère de déclarer : « je ne l’ai pas vue depuis le mois de mai, après ses problèmes, elle est devenue fugueuse et maintenant je ne peux plus la retenir. J’ai d'ailleurs arrêté de la rechercher. Sinon, de temps en temps, elle m’appelle mais avec des numéros différents ».
Pour le procureur les actes barbares d’Édouard ont bouleversé la vie de la jeune Maïmouna, ainsi il demande au tribunal de le condamner à 10 ans de prison.
N’étant pas d’avis avec le procureur, la défense pense que les preuves soulevées ne peuvent pas charger le prévenu. « M le juge est ce que Maïmouna ne pouvait pas voir un gynécologue avant d’accuser mon client, en plus, le procès-verbal n’a pas été signé. Plein de choses prouvent qu’il n’y a pas pénétration, alors comment peut-on le condamner sur la base de simples déclarations? »
Une déclaration qui laisse le juge dans le doute qui a décidé de renvoyer le procès au 19 juillet...
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