Contre toute attente, le parti du président Macky Sall a envoyé son représentant pour assister à l'ouverture des assises de la justice à l’occasion de la journée nationale du dialogue. C’est l’ancien ministre des Forces Armées, Me Oumar Youm qui a représenté l’Alliance pour la République.
Ainsi avant le démarrage des travaux de commissions, l’avocat explique sa présence. « On est venu répondre à la convocation du président de la République au nom de l’alliance pour la République. Nous avons eu les termes de références».
Me Youm note que « nous avons entendu l’allocution du président de la République. Nous espérons que les travaux nous permettront de rectifier ce qui doit l’être » dit-il.
Toutefois, il estime que ces assises porteront leurs fruits pour permettre aux acteurs de la justice de travailler convenablement avec sérénité et lucidité. « Je pense qu’il n’est pas question d’une crise profonde de la justice. Il y a eu des dysfonctionnements au niveau de la justice pénale qu’il faut corriger et améliorer. L’autre point, c’est de tout faire pour qu’il y ait une loi de programmation budgétaire pour la justice pour doter celle-ci beaucoup plus de moyens, beaucoup plus de ressources humaines pour leur permettre d’accomplir la mission exaltante avec sérénité, lucidité dans des conditions de confort et de travail performante » conclut l’avocat.
Ainsi avant le démarrage des travaux de commissions, l’avocat explique sa présence. « On est venu répondre à la convocation du président de la République au nom de l’alliance pour la République. Nous avons eu les termes de références».
Me Youm note que « nous avons entendu l’allocution du président de la République. Nous espérons que les travaux nous permettront de rectifier ce qui doit l’être » dit-il.
Toutefois, il estime que ces assises porteront leurs fruits pour permettre aux acteurs de la justice de travailler convenablement avec sérénité et lucidité. « Je pense qu’il n’est pas question d’une crise profonde de la justice. Il y a eu des dysfonctionnements au niveau de la justice pénale qu’il faut corriger et améliorer. L’autre point, c’est de tout faire pour qu’il y ait une loi de programmation budgétaire pour la justice pour doter celle-ci beaucoup plus de moyens, beaucoup plus de ressources humaines pour leur permettre d’accomplir la mission exaltante avec sérénité, lucidité dans des conditions de confort et de travail performante » conclut l’avocat.
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