Suite à l'arrestation du journaliste bissau-guinéen Armando Lona lors des manifestions en Guinée, le Syndicat des Professionnels de l'Information et de la Communication du Sénégal (SYNPICS) a plaidé pour sa libération immédiate.
Dans un communiqué transmis à Dakaractu, le journaliste bissau-guinéen a été arrêté samedi 20 mai pour avoir participé à une manifestation organisée par le mouvement populaire, structure qui regroupe plusieurs organisations de la société civile. Selon la même source, ils protestaient contre la vie chère et la paralysie des institutions (dissolution de l'Assemblée nationale populaire et blocage de la Cour suprême).
Ainsi, le SYNPICS dénonce les maltraitances subies par le journaliste cofondateur du journal O Democrata de la part de la police bissau-guinéenne lors de son arrestation. "Actuellement, selon plusieurs confrères et acteurs de la société civile, Armando est très mal en point et son état nécessite une prise en charge médicale le plus rapidement possible", a fait savoir l'organisation qui reste sensible à la liberté d'expression au Sénégal et partout dans le monde et apporte toute sa solidarité à Armando Lona mais également plaide pour sa libération immédiate.
A cet effet, le SYNPICS invite le Président Umaro Cissoco Mballo à laisser leur confrère rentrer chez lui d'autant plus que son seul tort est d'avoir osé réclamer, comme beaucoup de ses compatriotes, de meilleures conditions de vie et une meilleure gestion de son pays.
Dans un communiqué transmis à Dakaractu, le journaliste bissau-guinéen a été arrêté samedi 20 mai pour avoir participé à une manifestation organisée par le mouvement populaire, structure qui regroupe plusieurs organisations de la société civile. Selon la même source, ils protestaient contre la vie chère et la paralysie des institutions (dissolution de l'Assemblée nationale populaire et blocage de la Cour suprême).
Ainsi, le SYNPICS dénonce les maltraitances subies par le journaliste cofondateur du journal O Democrata de la part de la police bissau-guinéenne lors de son arrestation. "Actuellement, selon plusieurs confrères et acteurs de la société civile, Armando est très mal en point et son état nécessite une prise en charge médicale le plus rapidement possible", a fait savoir l'organisation qui reste sensible à la liberté d'expression au Sénégal et partout dans le monde et apporte toute sa solidarité à Armando Lona mais également plaide pour sa libération immédiate.
A cet effet, le SYNPICS invite le Président Umaro Cissoco Mballo à laisser leur confrère rentrer chez lui d'autant plus que son seul tort est d'avoir osé réclamer, comme beaucoup de ses compatriotes, de meilleures conditions de vie et une meilleure gestion de son pays.
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